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Le plain-chant des champs de ma plaine
Par ISSA Jean, le 26 février 2003 à 00h00
Mac Mahon, Hugo, a la riscossa ! Que d’eau, que d’eau, morne plaine, Waterloo. Et la Békaa qui boit l’eau. Jusqu’à la lie. Jusqu’à l’hallali. Le lit du Litani, une litanie. De plaintes amères, jusqu’à la mer. Il neige bas sur le lac mineur. De nos frimeurs 4x4 que le frimas n’effraie pas. De nos poseurs. De mines. Qui nous piègent tant et plus au ras de notre vie d’exploités fourbus. Blasés, brisés par tant d’abus. Pour combattre le froid glacial, des prix qui flambent. Dans l’agroalimentaire surtout, vu que les légumes, sauf les grosses légumes, se gèlent les pieds. Et les responsables, si mal nommés, nous laissent. Sur notre faim. Histoire sans fin. J.I.
Mac Mahon, Hugo, a la riscossa ! Que d’eau, que d’eau, morne plaine, Waterloo. Et la Békaa qui boit l’eau. Jusqu’à la lie. Jusqu’à l’hallali. Le lit du Litani, une litanie. De plaintes amères, jusqu’à la mer. Il neige bas sur le lac mineur. De nos frimeurs 4x4 que le frimas n’effraie pas. De nos poseurs. De mines. Qui nous piègent tant et plus au ras de notre vie...
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