La présence de particules d’amiante, décelées dans les débris du Concorde lors de l’opération d’enlèvement, retarde l’enquête sur la catastrophe survenue le 25 juillet près de Paris. «La présence d’amiante a perturbé l’enquête et a considérablement freiné les opérations», a indiqué hier le capitaine de gendarmerie Xavier Mulot, directeur de l’enquête, à Dugny, près de l’aéroport du Bourget, où doivent être reconstituées les parties de l’avion déterminantes pour l’enquête (train d’atterrissage, motorisation, cockpit). Sur 22 échantillons, 3 ont révélé la présence en petite quantité de particules d’amiante sur de la tuyauterie, du revêtement calorifuge propre au moteur ainsi que sur une nacelle de transport, précise-t-on à la Gendarmerie des transports aériens (GTA). «Bien que les particules d’amiante soient présentes à un taux inférieur» à la quantité légalement admise, «les investigations ne pourront reprendre qu’après l’intervention de personnels spécialisés dans le désamiantage», a souligné le capitaine Mulot.
La présence de particules d’amiante, décelées dans les débris du Concorde lors de l’opération d’enlèvement, retarde l’enquête sur la catastrophe survenue le 25 juillet près de Paris. «La présence d’amiante a perturbé l’enquête et a considérablement freiné les opérations», a indiqué hier le capitaine de gendarmerie Xavier Mulot, directeur de l’enquête, à...
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