Rechercher
Rechercher

Actualités - OPINION

Un morceau de nostalgie (suite )

Confondre un bâtiment en voie de restauration avancée (le Tannouri Palace) avec un pan de mur à l’état de ruine, tel que je l’ai décrit dans mon dernier article («Un morceau de nostalgie»), est de toute évidence une aberration. Elle tient son origine du fait qu’en longeant le premier en voiture, j’entendis un ami dire : «Et voilà l’Institut d’archéologie», et me le tins pour dit. Cela n’excuse rien (pire qu’une faute, une erreur) et j’assume le ridicule de l’attitude d’un journaliste qui échappe au devoir de vérification des faits, laquelle montre, pour l’ancien institut, un bâtiment en voie de restauration avancée. Quant à M. Tannouri, ne le connaissant pas, je ne peux éprouver un sentiment d’hostilité personnelle envers lui. Ceci dit, que mes souvenirs du palais Abdel Kader soient nostalgiques relève de la subjectivité, qui est un droit de l’écriture. Alors, pardon à M. Tannouri pour ce qu’il reconnaîtra n’être qu’une vétille à l’aune de ses entreprises.
Confondre un bâtiment en voie de restauration avancée (le Tannouri Palace) avec un pan de mur à l’état de ruine, tel que je l’ai décrit dans mon dernier article («Un morceau de nostalgie»), est de toute évidence une aberration. Elle tient son origine du fait qu’en longeant le premier en voiture, j’entendis un ami dire : «Et voilà l’Institut d’archéologie», et me...