Officiellement, il s’agissait d’une visite programmée depuis longtemps et destinée à la signature de conventions bilatérales ainsi qu’à la préparation du sommet francophone qui doit se tenir à Beyrouth en octobre 2001. Mais comme c’était aussi la première visite au Liban d’un membre du gouvernement français depuis «la bombe Jospin», elle ne pouvait que revêtir un aspect particulier. Au cours de la conférence de presse donnée avant de prendre l’avion pour Paris, M. Josselin, ministre délégué à la Coopération et à la Francophonie, a d’ailleurs précisé avoir transmis aux autorités libanaises «un message d’amitié». «J’ai dit la volonté française de préserver et développer ses relations d’amitié avec le Liban et que la France se tient aux côtés du Liban», a ajouté M. Josselin, qui a aussi signé des conventions avec les ministres de l’Éducation, de l’Agriculture et de l’Information libanais. Par contre, c’est de francophonie qu’il a parlé avec le ministre Michel Murr, chargé par le gouvernement libanais de la préparation du prochain sommet. Une visite donc bien remplie et surtout qui tombe bien.
Officiellement, il s’agissait d’une visite programmée depuis longtemps et destinée à la signature de conventions bilatérales ainsi qu’à la préparation du sommet francophone qui doit se tenir à Beyrouth en octobre 2001. Mais comme c’était aussi la première visite au Liban d’un membre du gouvernement français depuis «la bombe Jospin», elle ne pouvait que revêtir un...
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