Le ministre d’État Michel Pharaon a déclaré que «le dossier des Libanais détenus en Syrie touche à sa fin» et mis en garde contre le danger de réclamer l’ouverture du dossier des personnes disparues durant les événements, ce qui est de nature à remettre sur le tapis «les excès commis durant la guerre». Pour M. Pharaon, il s’agit de «pardonner jusqu’à l’amnistie totale, car la loi d’amnistie générale est insuffisante et seul le pardon peut aboutir à une réelle fusion nationale». Au cours d’une conférence à Jbeil, M. Pharaon a ajouté que «la disparition de plus de 17 mille personnes durant la guerre est un sujet qui affecte de nombreuses familles libanaises et qu’il faut à tout prix éviter d’ouvrir le dossier de la guerre, car la majorité des Libanais y est opposée». Sur le plan politique, M. Pharaon a insisté sur les mesures «courageuses» récemment adoptées par le gouvernement qui, a-t-il assuré, est un gouvernement d’entente possédant une vision économique précise.
Le ministre d’État Michel Pharaon a déclaré que «le dossier des Libanais détenus en Syrie touche à sa fin» et mis en garde contre le danger de réclamer l’ouverture du dossier des personnes disparues durant les événements, ce qui est de nature à remettre sur le tapis «les excès commis durant la guerre». Pour M. Pharaon, il s’agit de «pardonner jusqu’à...
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