Il n’y a pas seulement les intempéries de plus en plus chroniques, de plus en plus paralysantes. Il y a les glissements de terrains dus à des chantiers un peu sauvages. Il y a les visites des présidents étrangers. Il y a aussi la période des fêtes, le shopping : nous sommes à deux semaines de la fin de l’année. Vous conjuguez tout cela, et cela donne, en moyenne, quatre heures d’attente, coincé au milieu de centaines et de centaines de voitures (notre photo Mahmoud Tawil), harcelé par des centaines et des centaines de klaxons, sur des routes cabossées, parsemées de trous, de fossés, d’abysses. Heureusement, il reste des mots d’amour échangés par cellulaire, un journal, un livre à lire, la radio, et... les mots lénifiants du ministre des Transports et des Travaux publics, le sémillant Négib Mikati. Qui assure ses grands dieux que tout est prêt, fin prêt (en ce qui concerne l’infrastructure routière) pour la saison des pluies, des neiges et des orages. S’il le dit... Z.M.
Il n’y a pas seulement les intempéries de plus en plus chroniques, de plus en plus paralysantes. Il y a les glissements de terrains dus à des chantiers un peu sauvages. Il y a les visites des présidents étrangers. Il y a aussi la période des fêtes, le shopping : nous sommes à deux semaines de la fin de l’année. Vous conjuguez tout cela, et cela donne, en moyenne, quatre...
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