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Les avocats de la LBCI interjettent appel

Les avocats de la LBCI ont interjeté hier appel auprès de la chambre de mise en accusation de Beyrouth à laquelle ils ont demandé de casser la décision du premier juge d’instruction de Beyrouth, Hatem Madi, qui avait rejeté les exceptions de forme présentées par les avocats de la chaîne et de son directeur des informations, Jean Féghali. Selon les avocats, la décision de M. Madi est « illégale et elle est en contradiction avec les dispositions de la loi sur l’audiovisuel ». La défense considère notamment qu’il appartient au CNA et non pas au ministre de l’Information de surveiller les émissions des médias audiovisuels et que M. Ghazi Aridi a empiété sur les prérogatives du Conseil national de l’audiovisuel en saisissant le parquet d’une note d’information relative au commentaire de la LBCI sur la tuerie de l’Unesco, au moment de la présentation du journal télévisé. Ce commentaire a été considéré comme étant une incitation aux dissensions confessionnelles. Mais le premier juge d’instruction avait estimé que le ministre ne s’est pas arrogé les prérogatives parce qu’il s’est contenté d’envoyer une note au parquet.
Les avocats de la LBCI ont interjeté hier appel auprès de la chambre de mise en accusation de Beyrouth à laquelle ils ont demandé de casser la décision du premier juge d’instruction de Beyrouth, Hatem Madi, qui avait rejeté les exceptions de forme présentées par les avocats de la chaîne et de son directeur des informations, Jean Féghali. Selon les avocats, la décision de...