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Conférence Cardahi explique les avantages de la libéralisation des télécommunications
le 13 mars 2002 à 00h00
Au cours d’une conférence à l’auditorium Hariri de l’Université de Balamand, Jean-Louis Cardahi, ministre des Télécommunications, a résumé le nouveau projet de loi sur les télécommunications en trois mots : libéralisation, organisation, privatisation. M. Cardahi a en effet considéré que la privatisation du secteur s’imposait, à une époque où «ce dernier a connu d’immenses progrès à travers le monde, ne se limitant plus à la simple transmission du son et de l’image, mais englobant tout ce qui concerne les services». Il a précisé que la loi devait voir le jour dans un mois au plus tard. Le ministre a établi un parallèle entre le développement de ce secteur et la croissance économique nationale. «Au Liban, nous aspirons à libéraliser le secteur des télécommunications afin d’ouvrir la voie au secteur privé pour qu’il investisse dans les différents services ainsi que dans les nouveaux secteurs», a-t-il dit. Il a toutefois fait remarquer qu’il était indispensable qu’une société privée soit chargée d’organiser auparavant le secteur. Revenant au projet de loi, M. Cardahi a précisé que le texte prévoyait la création d’un comité chargé de contrôler le marché, de l’organiser, de définir les règles et de fonder une société où toutes les installations de l’État seraient transportées. Les services seront assurés au contribuable par l’intermédiaire d’une société privée appelée Liban Télécom.
Au cours d’une conférence à l’auditorium Hariri de l’Université de Balamand, Jean-Louis Cardahi, ministre des Télécommunications, a résumé le nouveau projet de loi sur les télécommunications en trois mots : libéralisation, organisation, privatisation. M. Cardahi a en effet considéré que la privatisation du secteur s’imposait, à une époque où «ce dernier a connu...
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