Le patriarche maronite Nasrallah Sfeir a déploré, dans son message du carême, le fait qu’une fraction des chrétiens libanais se sente toujours marginalisée et tenue à l’écart de la vie politique. «Un quart de siècle après le déclenchement de la guerre, il est grand temps d’aboutir à une réconciliation entre l’État et tous ses fils», a souligné Mgr Sfeir. Abondant dans le même sens, l’assemblée des évêques maronites a, d’autre part, relevé qu’il ne saurait y avoir de détente tant qu’une partie des citoyens est marginalisée alors qu’une autre fraction profite du pays parce qu’elle se conforme à la ligne de conduite préétablie. Page 3
Le patriarche maronite Nasrallah Sfeir a déploré, dans son message du carême, le fait qu’une fraction des chrétiens libanais se sente toujours marginalisée et tenue à l’écart de la vie politique. «Un quart de siècle après le déclenchement de la guerre, il est grand temps d’aboutir à une réconciliation entre l’État et tous ses fils», a souligné Mgr Sfeir....
Les plus commentés
Oui, non, peut-être ? Comment le Liban a répondu à la feuille de route française
Migrants et réfugiés syriens : un double jeu du Hezbollah ?
L’État libanais responsable de la restitution des dépôts bancaires ? Oui, mais...