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Actualités - CHRONOLOGIES

« Les fêt-arts en ville » chez Aïda Cherfan

La galerie Aïda Cherfan (rue Hussein el-Ahdab, place de l’Étoile) présente, à l’occasion des fêtes, des œuvres mi-artistiques, mi-décoratives, conçues et réalisées par une quinzaine d’artistes, et dont les prix varient de 50 à 2 100 dollars. Il y a donc les «livres plissés» de Michèle Tadros. Des livres pour la plupart anciens que cette décoratrice chine dans les foires ici et à l’étranger et dont elle plie les pages, sans en arracher aucune, les transformant en bibelots aux faux airs d’accordéons. – Les guéridons de Michèle Tawil. Petites tables d’appui légères en bois, de différentes couleurs, ornées de dessins en perles de verre. – Les «portes-sacs» et les «mobiles» de Chadia Najjar qui se déclinent sur différents thèmes, suivant les matériaux qui les constituent. Il y a les mobiles à base de ressorts en spirales, ceux assemblant des résistances de télévisions anciennes, ceux qui redonnent vie à de vieux jouets… Tous dessinent des ombres dansantes sur les murs. - Les créations sur bois ou verre de Murano de Gina Nahlé. Cette artiste traite le corps féminin aussi bien dans ses panneaux sur bois, que dans ses sculptures de verre, ou encore ses «sculptures-tour du cou». Mais selon l’inspiration de Gina Nahlé qui dit «les habiller dans un style dévêtu», ces corps tout en courbes passent de l’érotisme au ludique… - Les aquarelles et assemblages de Zeina Maalouf Chidiac. Qui représentent des rues et des villages libanais de manière moins traditionnelle. Elle travaille sur le papier froissé qu’elle maroufle par la suite sur le carton, ce qui accentue l’effet de perspective. Ou elle assemble, dans des tableaux tridimensionnels, des objets et des peintures sur carton épais. Dans un registre plus purement pictural, la galerie propose des œuvres de Jean-Marc Nahas (natures mortes aux fruits), des encres sympathiques de Magali Katra, des gravures (de petit, moyen et grand format) de Hussein Madi, deux «grenades» à l’acrylique sur toile de Krikor Agopian, des jongleurs à l’acrylique sur bois de Selwan Ibrahim, des natures mortes aux courgettes ou aux dominos de Mounira et-Solh, des pastels vifs de Mona Madi ainsi que des paysages classiques de Majida Sleiman. Jusqu’au 30 décembre.
La galerie Aïda Cherfan (rue Hussein el-Ahdab, place de l’Étoile) présente, à l’occasion des fêtes, des œuvres mi-artistiques, mi-décoratives, conçues et réalisées par une quinzaine d’artistes, et dont les prix varient de 50 à 2 100 dollars. Il y a donc les «livres plissés» de Michèle Tadros. Des livres pour la plupart anciens que cette décoratrice chine dans les...