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Émile Lahoud condamne les « exactions » -
le 17 août 2001 à 00h00
Le député Émile Lahoud a assuré qu’il se tiendrait toujours, «à tort ou à raison, aux côtés des jeunes qui constituent les piliers de cette patrie». Il a manifesté sa réprobation et son regret de «l’agression des étudiants devant le Palais de justice par ceux-là mêmes qui sont censés veiller à leur sécurité et leur assurer la liberté d’expression». Le président de la commission parlementaire de la Jeunesse et des Sports, qui s’exprimait devant les membres de la sélection de basket-ball venus le visiter en son bureau, a condamné «les exactions commises à l’encontre de certains de nos jeunes», assurant que, dès le début, il avait appelé les responsables à «prendre de sévères mesures contre les coupables. Il est important d’éviter de retomber dans les mêmes erreurs, et les jeunes sont la richesse de ce pays». En cas d’excès, a-t-il conclu, «l’État doit faire son devoir, mais sans porter atteinte à la dignité de qui que ce soit. Sur ce plan, nous ne pouvons que rendre hommage au ministre de l’Intérieur Élias Murr pour les mesures disciplinaires prises à l’encontre des responsables de ces incidents».
Le député Émile Lahoud a assuré qu’il se tiendrait toujours, «à tort ou à raison, aux côtés des jeunes qui constituent les piliers de cette patrie». Il a manifesté sa réprobation et son regret de «l’agression des étudiants devant le Palais de justice par ceux-là mêmes qui sont censés veiller à leur sécurité et leur assurer la liberté d’expression». Le...
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