Après la tempête, l’heure est à l’apaisement, même si le flou demeure. Aussi bien du côté du Hezbollah que de celui de la présidence du Conseil, on cherche à minimiser ce qui aurait pu faire détruire la belle harmonie entre M. Rafic Hariri et la formation «résistante». Mais au-delà de cette façade lisse et sereine que hajj Hussein Khalil, adjoint politique de sayyed Hassan Nasrallah, affiche avec complaisance, plusieurs questions restent sans réponse : comment concilier les opérations à Chebaa avec la politique en faveur des investissements étrangers ? De plus, alors que le Liban se prépare à accueillir le neuvième sommet de la francophonie, peut-on prendre le risque de rater une telle chance pour quelques kilomètres carrés dépeuplés ?
Après la tempête, l’heure est à l’apaisement, même si le flou demeure. Aussi bien du côté du Hezbollah que de celui de la présidence du Conseil, on cherche à minimiser ce qui aurait pu faire détruire la belle harmonie entre M. Rafic Hariri et la formation «résistante». Mais au-delà de cette façade lisse et sereine que hajj Hussein Khalil, adjoint politique de sayyed...
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