Sayyed Mohammed Hussein Fadlallah, un des principaux dignitaires religieux chiites du pays, s’est montré très prudent à l’égard des déclarations du Premier ministre israélien Ehud Barak sur son intention de retirer ses troupes du Liban-Sud d’ici à un an. «Il ne faut pas prendre pour argent comptant les promesses de retrait», a-t-il dit lors du prêche du vendredi dans la grande mosquée de Haret-Hreik (banlieue sud de Beyrouth). Sayyed Fadlallah a mis l’accent sur la nécessité «d’assainir le climat politique interne pour faire face aux échéances économique auxquelles le Liban est confronté et pour affronter les défis qui se profilent à l’horizon sur le plan régional avec les possibilités d’une reprise de l’activité au niveau du règlement du conflit israélo-arabe». «Tempérons notre optimisme au sujet d’une éventuelle évacuation de la zone occupée, a-t-il ajouté. Seule la poursuite de la résistance peut amener les Israéliens à se retirer».
Sayyed Mohammed Hussein Fadlallah, un des principaux dignitaires religieux chiites du pays, s’est montré très prudent à l’égard des déclarations du Premier ministre israélien Ehud Barak sur son intention de retirer ses troupes du Liban-Sud d’ici à un an. «Il ne faut pas prendre pour argent comptant les promesses de retrait», a-t-il dit lors du prêche du vendredi dans la grande...
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