Wakim : l'épuration doit commencer par la classe politique

Sous le thème “Indices et portée de la réforme dans l’étape actuelle”, le Centre culturel de Chekka a organisé un débat au collège de l’Ordre des Moines libanais, en présence du président du conseil municipal local et de plusieurs personnalités de la région. Dans son allocution, le député Najah Wakim a commencé par se demander s’il était «normal que la dette publique libanaise passe, en l’espace de cinq ou six ans, de 1,700 milliard de dollars, à plus de 20 milliards de dollars». Pour M. Wakim, «toute épuration au niveau de l’administration doit commencer par une épuration au niveau de la politique et de la classe politique».