Au second jour de sa visite officielle en Turquie, le président américain Bill Clinton a lancé un vibrant plaidoyer en faveur de la réconciliation entre Ankara et Athènes, préalable essentiel, selon lui, à une adhésion de la Turquie à l’Union européenne. La veille, le chef de la Maison-Blanche s’était déclaré comme un ferme partisan de cette adhésion estimant qu’elle représentait «un grand pas vers l’avènement d’une Europe non divisée, démocratique et en paix». Accompagné de son épouse Hillary et de sa fille Chelsea, le président US s’est également rendu à Izmit réconforter les rescapés du séisme du mois d’août dernier qui avait fait 20 000 morts. Au milieu d’un camp de tentes en toile, Bill Clinton, juché sur une estrade de fortune et tête nue sous la pluie, s’est adressé à des centaines de sinistrés leur promettant l’aide financière de son pays pour aider à la reconstruction de leurs habitations détruites. Par ailleurs, à Duzce, ville touchée par le nouveau séisme de vendredi dernier, les recherches ont été abandonnées, les sauveteurs n’ayant plus aucun espoir de retrouver des survivants. Le bilan de ce dernier tremblement de terre pourrait bientôt dépasser le nombre des 600 tués.
Au second jour de sa visite officielle en Turquie, le président américain Bill Clinton a lancé un vibrant plaidoyer en faveur de la réconciliation entre Ankara et Athènes, préalable essentiel, selon lui, à une adhésion de la Turquie à l’Union européenne. La veille, le chef de la Maison-Blanche s’était déclaré comme un ferme partisan de cette adhésion estimant qu’elle...
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