Israël Lévy annonce un accord électoral avec Barak

Huit officiers supÈrieurs de l’armÈe irakienne ont ÈtÈ exÈcutÈs rÈcemment en Irak, notamment un gÈnÈral de corps d’armÈe qui avait dirigÈ les forces irakiennes dans le Sud en 1990, a-t-on appris hier de sources irakiennes concordantes. Le quotidien irakien d’opposition paraissant ‡ Londres, Al-Zaman, affirme dans son Èdition de jeudi qu’un gÈnÈral de corps d’armÈe de l’armÈe irakienne, accusÈ d’avoir fomentÈ un coup d’État militaire, «a ÈtÈ exÈcutÈ dans une prison». Le journal prÈcise que cet officier, «‚gÈ de 55 ans, avait commandÈ les forces militaires au sud de l’Irak en 1990» puis avait ÈtÈ dÈsignÈ «gouverneur de Missane ‡ la suite de l’invasion du Koweït». Par ailleurs, de sources irakiennes indÈpendantes ‡ Amman, on indique que sept hauts officiers de l’armÈe irakienne ont ÈtÈ exÈcutÈs aprËs les Èmeutes chiites qui ont ÈtÈ dÈclenchÈes samedi ‡ Bagdad et dans des villes du sud de l’Irak, ‡ la suite du meurtre du principal dignitaire chiite en Irak, l’ayatollah Mohammed Mohammed Sadek Al-Sadr et de deux de ses fils. Ces Èmeutes, qui auraient fait au moins cent morts selon l’opposition, ont ÈtÈ qualifiÈes «d’illusions» par le gouvernement irakien, qui a par ailleurs accusÈ Washington et Londres de se livrer ‡ une «escalade dangereuse» et de prÈparer une attaque terrestre.