En dépit de certains indicateurs économiques positifs, sur le plan social, le malaise est de plus en plus perceptible. La grève ouverte que les offices autonomes ont annoncé pour le 23 août est symptomatique à cet égard. Des licenciements et menaces de licenciement dans l’industrie reflètent à leur tour l’existence d’une montée du chômage. Pour baisser leurs coûts de production et survivre, les industriels en sont à demander l’autorisation d’importer leur carburant de Syrie. L’équation est la même, sous tous les cieux : d’une part, le blocage des salaires (pour cause d’austérité budgétaire ou pour d’autres raisons) et, d’autre part, le chômage, l’augmentation des prix et des charges quotidiennes.
En dépit de certains indicateurs économiques positifs, sur le plan social, le malaise est de plus en plus perceptible. La grève ouverte que les offices autonomes ont annoncé pour le 23 août est symptomatique à cet égard. Des licenciements et menaces de licenciement dans l’industrie reflètent à leur tour l’existence d’une montée du chômage. Pour baisser leurs coûts de production...
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