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Actualités - OPINION

Péché au chocolat

Branle-bas de sexe, si j’ose dire, chez les pandores. Il aura fallu qu’une nana, un brin déjantée, ait choisi d’enterrer sa vie de fifille autour d’un phallus comestible pour qu’un gendarme, vraisemblablement vexé par les proportions de l’objet, aille cafter auprès du juge d’instruction. Si encore le valeureux Navarro avait levé le lièvre, tout seul comme un grand, au prix d’une filature laborieuse. Mais tiens, fume ! Il a lorgné les photos dans un magazine auquel son commissariat semble visiblement abonné. Ayant donc raté le rendez-vous dégoulinant, et par la même occasion le flagrant délit, c’est une enquête à effet rétroactif qu’il a menée, Sherlock. Une enquête sur la quéquette, faut le faire. Et la minette bourrée de chocolat de glapir : «À Paris, on m’aurait laissé faire !». Sauf que Paris, c’est Paris, que les flics de là-bas ne sont pas des voyeurs qui vont chercher leurs sources d’information dans les magazines, et que surtout le chocolat, lui, est bien meilleur... Là, je sens que c’est le pâtissier qui va se fâcher. Un pâtissier débridé, une nana délurée, un galonné déclassé... Freud, réveille-toi, ils sont tous devenus fous !
Branle-bas de sexe, si j’ose dire, chez les pandores. Il aura fallu qu’une nana, un brin déjantée, ait choisi d’enterrer sa vie de fifille autour d’un phallus comestible pour qu’un gendarme, vraisemblablement vexé par les proportions de l’objet, aille cafter auprès du juge d’instruction. Si encore le valeureux Navarro avait levé le lièvre, tout seul comme un grand, au prix...