Rechercher
Rechercher

Actualités - REPORTAGE

Expositions

Photos de Bassam Lahoud au Goethe Au Goethe-Institut, Manara, Bassam Lahoud, professeur d’architecture et de photographie, présente une série de clichés sur Berlin, avant et après la destruction du mur. En 1984, Bassam Lahoud en visite à Berlin, prend une trentaine de photographies en noir et blanc. Une non-couleur adaptée à l’atmosphère de tristesse qui domine alors cette ville coupée en deux. Une sorte de «peau de chagrin» qui enveloppe les rues, les artères, les bâtiments, les gens… En 1998: neuf ans après la démolition du mur, le photographe se retrouve à Berlin. Aidé de Monika, une jeune femme qu’il avait photographiée lors de son premier voyage, il tente de refaire le même parcours, de passer par les mêmes lieux. Évidemment, beaucoup de choses ont changé, même si elles sont souvent prises sous le même angle… À travers les photos disposées en duo, Bassam Lahoud établit un parallèle entre les deux périodes. Parallèle de lieux mais aussi de situations… Weisbuch chez Alice Mogabgab La galerie Alice Mogabgab, Av. Charles-Malek, expose, jusqu’au 21 novembre, une quinzaine de peintures et lithos de Claude Weisbuch, un artiste d’origine roumaine installé en France. Membre titulaire de la Société des peintres et graveurs français, Weisbuch a, à son actif, plusieurs expositions internationales et nombre de ses œuvres trônent en bonne place dans plusieurs musées. Sur le thème de la musique, Weisbuch trace par traits fougueux des portraits de musiciens absorbés par leur art. Des violoncellistes «enlaçant» leurs violoncelles, des violonistes, leur instrument sur l’épaule, une moitié d’archet invisible par un effet de mouvement, un trio à cordes, un auditeur attentif dans sa loge… Dans une gamme réduite de couleurs, sur fond ocre, les silhouettes de Weisbuch surgissent, fragiles et fortes à la fois. Les gestes sont captés par une multitude de traits fins qui fusent dans l’espace toile. Et qui par une savante mise en scène donnent une impression d’esquisse… Térèse Kabsa chez Épreuve d’Artiste La galerie Épreuve d’Artiste, rue Sursock, accroche, jusqu’au 14 novembre, une quarantaine d’œuvres récentes de Térèse Kabsa, peintre et architecte d’intérieur. Des œuvres mixtes sur papier, des acryliques et des lithos qui déploient une multitude de figures a priori totalement disparates. Dans une même toile, l’artiste «loge» un petit coin de jardin, une femme à vélo, une autre à parapluie et une bicyclette aux roues cadrans de montre… Inspirés des «instants vie ; des moments merveilleux comme des petites misères», les tableaux de Térèse Kabsa parlent de retrouvailles entre couples, de tendresse, de course vers l’absolu, de détermination… Cette dernière notion est d’ailleurs illustrée avec humour par un tableau, où l’on voit un pied nu énorme s’abattre sur de petits personnages en tenue de sport... Couleurs franches et dessin net, voilé parfois par des coups de pinceau en diagonale, pour un effet estompé, ou au contraire de mouvement…
Photos de Bassam Lahoud au Goethe Au Goethe-Institut, Manara, Bassam Lahoud, professeur d’architecture et de photographie, présente une série de clichés sur Berlin, avant et après la destruction du mur. En 1984, Bassam Lahoud en visite à Berlin, prend une trentaine de photographies en noir et blanc. Une non-couleur adaptée à l’atmosphère de tristesse qui domine alors cette ville...