Estimant que «ce serait une grande perte nationale de négliger les émigrés et de limiter les relations avec eux au niveau protocolaire», la Fédération s’est déclarée pour «la participation des émigrés à la vie politique et à l’adoption des décisions» et pour «la récupération par tout étranger d’origine libanaise de sa nationalité libanaise».
Déplorant par ailleurs le gel du règlement du dossier des déplacés, la Fédération a dénoncé avec virulence «la mise à exécution par le gouvernement de décisions dont le moins qu’on puisse en dire est qu’elles risquent de mener à un nouvel exode» et le fait que «ce dossier humanitaire continue à être traité inéquitablement par l’Etat qui ne semble en mesure d’appliquer sa loi qu’à une seule fraction de la population».
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