M. Harajli a précisé que son ministère avait dépensé en 1996, 330 milliards de livres pour la réfection, l’asphaltage, le percement et la réhabilitation des routes. Cette somme comprend aussi les dépenses imprévues résultant de l’agression israélienne d’avril dernier au cours de laquelle l’aviation et l’artillerie israéliennes avaient détruit une trentaine de ponts et de nœuds routiers au Liban-Sud et dans la Békaa-Ouest.
Le ministre a indiqué que les opérations d’asphaltage, l’année dernière, ont porté sur 740 km de route classifiées (le réseau libanais est long de 6200 km) et surs 715 km de routes intérieures.
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