BOSTON LEGAL
Saisons 1 à 4
Vous prenez le créateur de Ally McBeal, David E. Kelley, quelques excellents acteurs comme James Spader et Candice Bergen, vous les mettez dans un cabinet d'avocat, vous secouez le tout et cela donne Boston Legal. Kelley a remis le couvert en intégrant le milieu qu'il maîtrise le mieux, à savoir : les cabinets d'avocats. Mais le réalisateur a aussi gardé son humour et sans sa série qui en est déjà à sa cinquième saison aux USA, il s'installe dans un renouveau de la comédie, à l'heure où la plupart des séries jouent la carte du suspense/thriller/trash.
MAX PAYNE
John Moore
On a adapté les comics, les séries, les sagas et on adore de plus en plus à Hollywood à mettre sur grand écran les jeux vidéo. Lara Croft, Sin City et maintenant Max Payne. Le problème avec ce genre de procédé, c'est que le monde virtuel des jeux vidéo est un univers à part. Rappelez-vous Mario Bros sur grand écran. Le résultat était assez terrible. De plus, le film est sorti en salle cinq ans après le second jeu. L'intérêt des « gamers » n'était plus du tout le même. Malgré donc la présence de Wahlberg et une ambiance qui rappelle celle du jeu, Max Payne peine à séduire.
SANS ARME, NI HAINE, NI VIOLENCE
Jean-Paul Rouve
Les voyous ont depuis toujours exercé une certaine fascination sur les gens, particulièrement dans le monde du cinéma. Juste avant la bombe que fut le Mesrine de Jean-François Richet avec l'excellent Vincent Cassel, l'ex-Robin des Bois, Jean-Paul Rouve, s'est attaqué à l'histoire de Spaggiari. Sacré «cerveau» du casse du siècle à la Société Générale de Nice en juillet 76, Albert Spaggiari a inspiré Rouve qui se retrouve derrière et devant la caméra. Si le jeune réalisateur a mélangé réalité et fiction, joué avec les dialogues et quelques scènes de flash-back, le film manque de peps. Mais il se laisse voir en DVD.
Saisons 1 à 4
Vous prenez le créateur de Ally McBeal, David E. Kelley, quelques excellents acteurs comme James Spader et Candice Bergen, vous les mettez dans un cabinet d'avocat, vous secouez le tout et cela donne Boston Legal. Kelley a remis le couvert en intégrant le milieu qu'il maîtrise le mieux, à savoir : les cabinets d'avocats. Mais le réalisateur a aussi gardé son humour et sans sa série qui en est déjà à sa cinquième saison aux USA, il s'installe dans un renouveau de la comédie, à l'heure où la plupart des séries jouent la carte du suspense/thriller/trash.
MAX PAYNE
John Moore
On a adapté les comics, les séries, les sagas et on adore de plus en plus à Hollywood à mettre sur grand écran les jeux vidéo. Lara Croft, Sin City et maintenant Max Payne. Le problème avec ce genre de procédé, c'est que le monde virtuel des jeux vidéo est un univers à part. Rappelez-vous Mario Bros sur grand écran. Le résultat était assez terrible. De plus, le film est sorti en salle cinq ans après le second jeu. L'intérêt des « gamers » n'était plus du tout le même. Malgré donc la présence de Wahlberg et une ambiance qui rappelle celle du jeu, Max Payne peine à séduire.
SANS ARME, NI HAINE, NI VIOLENCE
Jean-Paul Rouve
Les voyous ont depuis toujours exercé une certaine fascination sur les gens, particulièrement dans le monde du cinéma. Juste avant la bombe que fut le Mesrine de Jean-François Richet avec l'excellent Vincent Cassel, l'ex-Robin des Bois, Jean-Paul Rouve, s'est attaqué à l'histoire de Spaggiari. Sacré «cerveau» du casse du siècle à la Société Générale de Nice en juillet 76, Albert Spaggiari a inspiré Rouve qui se retrouve derrière et devant la caméra. Si le jeune réalisateur a mélangé réalité et fiction, joué avec les dialogues et quelques scènes de flash-back, le film manque de peps. Mais il se laisse voir en DVD.
BOSTON LEGALSaisons 1 à 4Vous prenez le créateur de Ally McBeal, David E. Kelley, quelques excellents acteurs comme James Spader et Candice Bergen, vous les mettez dans un cabinet d'avocat, vous secouez le tout et cela donne Boston Legal. Kelley a remis le couvert en intégrant le milieu qu'il maîtrise le mieux, à savoir : les cabinets d'avocats....
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