Une citerne de distribution d'eau. Saïd Meallaoui/Photo d’archives L'Orient-Le Jour
À un moment ou un autre de la journée, le bruit de moteur d’un camion-citerne fait son irruption dans le paysage sonore libanais. Un vrombissement familier devenu encore plus régulier que d’habitude ces derniers temps, alors qu’en ce début d’été, les restrictions en eau se font déjà ressentir dans plusieurs régions du Liban, notamment dans la capitale et ses environs. « Des gens m’appellent de 7h à 20h pour que je vienne remplir leurs réservoirs », assure Élias qui circule chaque jour à Furn el-Chebbak et Aïn el-Remmané, quartiers de la banlieue sud-est de Beyrouth. « La demande a baissé cette semaine car il y a eu un réapprovisionnement de l’État au 1er du mois. Mais avant ça, je vidais facilement avant la fin de la journée la citerne que je remplis le matin », explique l’électricien, qui se reconvertit occasionnellement en livreur...
À un moment ou un autre de la journée, le bruit de moteur d’un camion-citerne fait son irruption dans le paysage sonore libanais. Un vrombissement familier devenu encore plus régulier que d’habitude ces derniers temps, alors qu’en ce début d’été, les restrictions en eau se font déjà ressentir dans plusieurs régions du Liban, notamment dans la capitale et ses environs. « Des gens m’appellent de 7h à 20h pour que je vienne remplir leurs réservoirs », assure Élias qui circule chaque jour à Furn el-Chebbak et Aïn el-Remmané, quartiers de la banlieue sud-est de Beyrouth. « La demande a baissé cette semaine car il y a eu un réapprovisionnement de l’État au 1er du mois. Mais avant ça, je vidais facilement avant la fin de la journée la citerne que je remplis le matin », explique l’électricien, qui se...
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Les mafias de l'eau, de l'electricite, des poubelles de l'asphalte, des carrieres, du domaine maritime, entre autres, ont encore de beaux jours devant elles.
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14 h 47, le 08 juillet 2025