Noor Alyacoubi, de Gaza : « Ma fille aurait besoin d’au moins trois sacs de couches par mois, coûtant 300 dollars »
Alors que le président américain Donald Trump a annoncé une trêve entre Israël et l’Iran, des voix s’élèvent à nouveau pour appeler à un cessez-le-feu dans l’enclave palestinienne.
Une fillette palestinienne porte un jerricane d'eau rempli à un point de distribution de Nuseirat, dans le centre de la bande de Gaza, le 23 juin 2025. Eyad Baba/AFP
Noor Alyacoubi, 27 ans, traductrice et coordinatrice médias dans un centre de recherche, n’a pas quitté Gaza depuis les premiers jours de la guerre opposant le Hamas à l’État hébreu. Elle raconte pour L'Orient-Le Jour les défis de la parentalité en pleine guerre et sous blocus.De la patience, du calme et de la bonne humeur. C’est ce qu’on recommande souvent aux mères qui s’attellent à l’apprentissage de la propreté. Mais comment appliquer ce conseil lorsqu’on vit un génocide depuis plus de 600 jours ? Pour une personne comme moi, ce genre de suggestions ne fonctionne pas. C’est peine perdue. La vérité est que ça fait longtemps que je n’ai pas eu l’espace nécessaire pour me sentir calme. Je n’ai plus d’énergie, je manque de patience, je suis de mauvaise humeur – tout le temps. Depuis près d'un mois maintenant, ma fille Lya et moi...
Noor Alyacoubi, 27 ans, traductrice et coordinatrice médias dans un centre de recherche, n’a pas quitté Gaza depuis les premiers jours de la guerre opposant le Hamas à l’État hébreu. Elle raconte pour L'Orient-Le Jour les défis de la parentalité en pleine guerre et sous blocus.De la patience, du calme et de la bonne humeur. C’est ce qu’on recommande souvent aux mères qui s’attellent à l’apprentissage de la propreté. Mais comment appliquer ce conseil lorsqu’on vit un génocide depuis plus de 600 jours ? Pour une personne comme moi, ce genre de suggestions ne fonctionne pas. C’est peine perdue. La vérité est que ça fait longtemps que je n’ai pas eu l’espace nécessaire pour me sentir calme. Je n’ai plus d’énergie, je manque de patience, je suis de mauvaise humeur – tout le temps. Depuis près...
Cet article est réservé aux abonnés. Abonnez-vous pour 1$ et accédez à une information indépendante.
Dans votre abonnement numérique : la version PDF du quotidien L’Orient-Le Jour, des newsletters réservées aux abonnés ainsi qu'un accès illimité à 3 médias en ligne : L’Orient-Le Jour, L’Orient Today et L’Orient Littéraire.
Ma parole on croit rêver!
On faisait comment avant les "pampers"?
Comment a fait ma mère?
Comment j'ai fait et comment ma fille aux USA a fait parce-que nous sommes anti couches industrielles extrêmement onéreuses et terriblement polluantes???
Vous êtes sérieux là ?!
Les gens meurent et c'est le problème du pot et des couches qui vous préoccupe?
Je crois que cet article est tout simplement un gag. Ça ne peut pas être autre chose.
Chers lecteurs, afin que vos réactions soient validées sans problème par les modérateurs de L'Orient-Le Jour, nous vous prions de jeter un coup d'oeil à notre charte de modération.
Ma parole on croit rêver!
On faisait comment avant les "pampers"?
Comment a fait ma mère?
Comment j'ai fait et comment ma fille aux USA a fait parce-que nous sommes anti couches industrielles extrêmement onéreuses et terriblement polluantes???
Vous êtes sérieux là ?!
Les gens meurent et c'est le problème du pot et des couches qui vous préoccupe?
Je crois que cet article est tout simplement un gag. Ça ne peut pas être autre chose.
Ma parole on croit rêver! On faisait comment avant les "pampers"? Comment a fait ma mère? Comment j'ai fait et comment ma fille aux USA a fait parce-que nous sommes anti couches industrielles extrêmement onéreuses et terriblement polluantes??? Vous êtes sérieux là ?! Les gens meurent et c'est le problème du pot et des couches qui vous préoccupe? Je crois que cet article est tout simplement un gag. Ça ne peut pas être autre chose.
18 h 24, le 25 juin 2025