Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu s’exprimant lors d’une conférence de presse avec le président des États-Unis à la Maison Blanche à Washington, DC, le 4 février 2025 ; et une photo transmise par le bureau du guide suprême iranien, l’ayatollah Ali Khamenei, le 11 décembre 2024, le montrant en train de s’adresser à ses partisans à Téhéran. ANDREW CABALLERO-REYNOLDS / diverses sources / AFP
Il est de bon ton, ces jours-ci, chez beaucoup d’observateurs et dans une partie importante de l’opinion publique, de renvoyer dos à dos les deux protagonistes de la guerre en cours au Moyen-Orient, en leur faisant assumer des parts plus ou moins égales de responsabilité dans ce conflit, histoire de ne pas afficher une préférence pour l’un si l’on tape trop sur l’autre. Cette approche a l’avantage de servir le confort intellectuel et, dans certaines contrées, de ménager le politiquement correct. Mais elle ne facilite pas, en revanche, la compréhension du problème et la détermination des vraies responsabilités historiques, non seulement des deux États en question, Israël et l’Iran, mais aussi de tous les autres protagonistes concernés, petits ou grands, proches ou lointains.Il faut d’abord se débarrasser de certaines considérations qui...
Il est de bon ton, ces jours-ci, chez beaucoup d’observateurs et dans une partie importante de l’opinion publique, de renvoyer dos à dos les deux protagonistes de la guerre en cours au Moyen-Orient, en leur faisant assumer des parts plus ou moins égales de responsabilité dans ce conflit, histoire de ne pas afficher une préférence pour l’un si l’on tape trop sur l’autre. Cette approche a l’avantage de servir le confort intellectuel et, dans certaines contrées, de ménager le politiquement correct. Mais elle ne facilite pas, en revanche, la compréhension du problème et la détermination des vraies responsabilités historiques, non seulement des deux États en question, Israël et l’Iran, mais aussi de tous les autres protagonistes concernés, petits ou grands, proches ou lointains.Il faut d’abord se débarrasser de...
la violation du Droit international en général et du Droit humanitaire dans un silence et une impunité n'est pas anodine comme vous semblez le penser... cela constitue des précédents graves qui peuvent faire rentrer le monde dans une instabilité et une insécurité à long terme. si la communauté internationale laisse faire , personne ne sera à l'abri demain . La légitime défense préventive n'existe pas en Droit et ne doit en aucun cas être admise pour légitimer une attaque unilatérale . ou va-t-on? Le bal des hypocrites oui , mais il faudrait rallonger la liste ...
12 h 47, le 21 juin 2025