
Une manifestante tient une photo du guide suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei, lors d'un rassemblement de solidarité avec le gouvernement contre les attaques israéliennes contre l'Iran et pour marquer l'Aïd al-Ghadir, lorsque, selon la croyance musulmane chiite, le prophète islamique Mahomet a désigné son neveu et compagnon Ali ibn Abi Talib comme son successeur, sur la place Enghelab (Révolution) à Téhéran le 14 juin 2025. Atta KENARE / AFP
Une réunion a rassemblé mercredi le chef du conseil exécutif du Hezbollah, le cheikh Ali Daamouche, et le président du comité exécutif d’Amal, Moustapha Fouhani, rapporte notre correspondant au Liban-Sud Mountasser Abdallah. Dans leur communiqué, les deux cadres affirment que la rencontre, dont le lieu n’a pas été précisé, était « dédiée à la coordination ».
Les représentants des deux partis ont condamné « l’agression israélienne féroce contre l’Iran », estimant que « ces campagnes hostiles sont une tentative désespérée pour viser l’axe de la Résistance dans sa globalité, et briser la volonté des peuples libres ».
« L’Iran restera le premier soutien des causes justes de la région, un appui solide face à l’hégémonie et aux velléités colonialistes », ont-ils poursuivi.
L’Iran fait l’objet d’attaques israéliennes répétées depuis le vendredi 13 juin, notamment contre ses installations nucléaires et ses infrastructures, auxquelles Téhéran riposte en ciblant le territoire israélien. Le principal allié de l’Iran au Liban, le Hezbollah, largement affaibli par treize mois de guerre avec Israël après avoir ouvert un « front de soutien »au Hamas à Gaza, a témoigné de son soutien à Téhéran, sans toutefois s'impliquer militairement dans le conflit. Malgré le cessez-le-feu du 27 novembre 2024 au Liban, les violations israéliennes restent quotidiennes tandis que l'armée israélienne occupe toujours cinq points jugés « stratégiques » le long de la frontière au sud-Liban.
La question de la reconstruction des régions dévastées par les frappes israéliennes a d’ailleurs été abordée par les deux responsables mercredi. Ils ont appelé « à en faire une priorité nationale et humanitaire, qui nécessite les efforts conjugués de l’Etat, de la société civile et de toutes les forces vives ».
Les habitants des zones détruites se plaignent régulièrement du retard dans le dossier de la reconstruction, qui n’a pas encore bénéficié d’aides extérieures substantielles, sachant qu’il est chiffré à 11 milliards de dollars par la Banque mondiale. Selon de nombreux observateurs, ces aides ne seront pas octroyées tant que le Hezbollah ne sera pas totalement désarmé.
Par ailleurs, le cheikh Ali Daamouche Moustapha Fouhan ont appelé les Libanais à davantage d’union nationale, et à s’éloigner de tout ce qui pourrait les diviser, protégeant « les réalisations nationales dues aux grands sacrifices ».
Briser la volonté des peuples libres? Comme ils y vont. Commençons donc par parler des iraniens. Ils étaient libres de vivre comme bon leur semble avant l’arrivée de ces pseudos dignitaires qui leur ont ôté toute liberté de parler, s’habiller, croire ou non en un dieu que les mollahs font semblant de défendre tout comme la cause palestinienne qu’ils ont sacrifiée avec le peuple gazaouis pour maintenir leur régime local que le peuple iranien dans sa majorité rejette de plus en plus fort en s’apercevant de leurs supercheries. Les mollahs ne défendent que leurs intérêts propres en pillant le pay
11 h 45, le 19 juin 2025