La Croix-Rouge confirme 27 morts dans des tirs près d'un site d'aide à Gaza | En direct

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La Maison Blanche "étudie l'authenticité" des informations sur des tirs mortels près d'un centre d'aide à Gaza

La Maison Blanche "étudie l'authenticité" des informations faisant état de tirs mortels près d'un centre de distribution d'aide dans le sud de la bande de Gaza, a dit sa porte-parole Karoline Leavitt.

"Le gouvernement est au courant de ces informations et nous en étudions l'authenticité", a-t-elle dit, ajoutant que "contrairement à certains médias, nous ne faisons pas totalement confiance à ce que dit le Hamas".

L'aide humanitaire à Gaza soutenue par les Etats-Unis est une "réussite" mais peut "s'améliorer", selon Washington.

Des avions israéliens survolent la Békaa à haute altitude, rapporte notre correspondante dans la région.

Tirs mortels près d'un centre d'aide à Gaza: le chef de l'ONU "condamne" une situation "inacceptable"

Le secrétaire général de l'ONU a condamné les tirs près d'un centre de distribution d'aide dans le sud de la bande de Gaza qui ont faDujarricrts selon la Croix-Rouge, a déclaré son porte-parole, évoquant des pertes de vies "inconcevables".

"Il est inacceptable que des civils risquent et parfois perdent la vie simplement en cherchant de la nourriture", a déclaré Stéphane Dujarric à la presse, répétant l'appel à une enquête indépendante réclamée après des événements similaires cette semaine.

L’armée israélienne a lancé des bombes incendiaires dans les environs est de la ville de Blida, dans le caza de Marjeyoun, rapporte notre correspondant au Liban-Sud.

Tirs mortels près d'un centre d'aide à Gaza: l'armée israélienne « enquête »

L'armée israélienne a annoncé mardi soir avoir ouvert une « enquête » après la confirmation par la Croix-Rouge de la mort de 27 Palestiniens à la suite de tirs près d'un centre de distribution d'aide dans le sud de la bande de Gaza.

Mardi matin, des soldats israéliens « ont procédé à des tirs de semonce [...] en direction de suspects qui s'approchaient d'une manière qui mettait en danger leur sécurité », a déclaré le général de brigade Effie Defrin, porte-parole de l'armée israélienne. « L'incident fait l'objet d'une enquête, et nous ferons toute la lumière » sur ce qui s'est passé, a-t-il ajouté, assurant que l'armée ne bloquait « pas l'accès des habitants de Gaza aux points de distribution d'aide ». « Au contraire, nous le permettons. C'est le Hamas qui empêche cet accès », a-t-il assuré.

Tirs près d'un centre de distribution d'aide à Gaza: la Croix-Rouge confirme 27 morts

Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) a confirmé la mort de 27 personnes après des tirs à l'aube près d'un centre de distribution d'aide dans le sud de la bande de Gaza, annoncée plus tôt par les secours du territoire palestinien.

"Tôt ce matin, l'hôpital de campagne de la Croix-Rouge de Rafah (sud), d'une capacité de 60 lits, a reçu un afflux massif de 184 patients. Dix-neuf d'entre eux ont été déclarés morts à leur arrivée et huit autres ont succombé à leurs blessures peu de temps après. La majorité des patients ont été blessés par balles", a précisé le CICR dans un communiqué.

Un petit drone israélien a largué une grenade sur la localité de Aïta al-Chaab (caza de Bint Jbeil), rapporte notre correspondant dans le Sud.

Photo ANI.

L’équipe du génie de l’armée libanaise a neutralisé un missile non explosé dans la place du village de Qana (caza de Tyr), a rapporté l’Agence nationale d’information (ANI, officielle).

L'ONU appelle les rebelles au Yémen à libérer les travailleurs humanitaires

Le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, a appelé les rebelles houthis au Yémen à libérer des dizaines de travailleurs humanitaires, dont des membres du personnel de l'ONU, arrêtés il y a plus d'un an, rapporte l'AFP.

Les houthis, qui contrôlent une grande partie de ce pays déchiré par la guerre depuis 2014, ont arrêté 13 membres du personnel de l'ONU et plus de 50 employés d'organisations humanitaires en juin 2024.

"Je renouvelle mon appel à leur libération immédiate et inconditionnelle", a déclaré M. Guterres dans un communiqué publié par le bureau de son envoyé spécial pour le Yémen, Hans Grundberg. "L'ONU et ses partenaires humanitaires ne devraient jamais être pris pour cible, arrêtés ou détenus dans l'exercice de leur mandat", a-t-il ajouté.

Gaza : 102 demandeurs d'aide tués par Israël en huit jours

L'armée israélienne a tué au moins 102 Palestiniens en huit jours lors des distributions d'aide organisées par la « Fondation humanitaire pour Gaza » débutées le 27 mai, selon le Bureau des médias de Gaza. Au moins 490 personnes supplémentaires ont également été blessées en marge de ces distributions mises en place à Rafah et dans le corridor de Netzarim par cette organisation soutenue par Israël et les États-Unis.

Le bureau des médias de Gaza accuse Israël d'avoir commis « un crime horrible et intentionnellement répété » en attirant des Palestiniens affamés vers les centres de distribution d'aide, puis en ouvrant le feu sur eux.

Des drones israéliens survolent actuellement à moyenne altitude les villages de Chmestar, Taraya, Bodai et Bednayel, dans le caza de Baalbeck, rapporte notre correspondante dans la Békaa.

Gaza : 58 Palestiniens tués par Israël depuis ce mardi matin

Au moins 58 Palestiniens ont été tués par les attaques israéliennes menées depuis ce matin dans la bande de Gaza, selon des sources médicales citées par Al Jazeera.

L'hôpital Nasser de Khan Younès, dans le sud de la bande de Gaza, a reçu 35 des personnes tuées aujourd'hui, dont 27 personnes ont été abattues près d’un site de distribution d'aide à Rafah. Six autres corps ont été accueillies à l'hôpital des Martyrs d'al-Aqsa, à Deir el-Balah, dans le centre de l’enclave.

À Gaza-ville, l'hôpital al-Shifa a reçu de son côté 14 victimes, alors que trois autres ont été reçues à l'hôpital baptiste al-Ahli.

Le Kremlin défend le "droit" de l'Iran à l'énergie nucléaire civile

Le Kremlin a défendu mardi le "droit" de l'Iran à développer son énergie nucléaire civile, au moment où les tensions s'accentuent entre Washington et Téhéran, en pleines négociations sur un nouvel accord sur le nucléaire iranien, rapporte l'AFP.

"Les pays ont le droit à l'énergie nucléaire civile (...) et nous estimons bien évidemment qu'ils doivent garder ce droit", a déclaré le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, interrogé, lors de son briefing quotidien, sur l'opposition exprimée par le président américain Donald Trump à tout "enrichissement d'uranium" en Iran.

"Nous partons avant tout du principe que, selon les déclarations officielles de la partie iranienne, il n'y pas de tels projets, que l'Iran ne veut pas se doter (...) des armes nucléaires", a expliqué M. Peskov.

"La Russie soutient entièrement les efforts visant à trouver un règlement pacifique du problème nucléaire iranien", a-t-il encore souligné.

Les secours annoncent un nouveau bilan de 27 morts à Gaza dans des tirs israéliens près d'un centre d'aide

La Défense civile de Gaza a indiqué que 27 personnes avaient été tuées par des tirs de l'armée israélienne près d'un centre de distribution d'aide humanitaire à Rafah, dans le sud du territoire palestinien, dans un nouveau bilan revu à la hausse.

« Vingt-sept personnes ont été tuées et plus de 90 blessées lors du massacre de civils qui attendaient l'aide américaine dans la zone d'Al-Alam à Rafah », a déclaré à l'AFP le porte-parole de la Défense civile, Mahmoud Bassal, qui avait indiqué plus tôt que les victimes avaient succombé « aux tirs des forces israéliennes ».

L'ONU qualifie les attaques près des centres d'aide de « crimes de guerre »

Le Haut-Commissaire de l'ONU aux droits de l'Homme, Volker Türk, a qualifié de « crimes de guerre » les attaques contre des civils près des centres d'aide dans la bande de Gaza.

« Les attaques meurtrières contre des civils désespérés qui tentent d'accéder à des quantités dérisoires d'aide alimentaire à Gaza sont inadmissibles », a indiqué M. Türk, dans un communiqué lu par un porte-parole lors d'un point de presse à Genève. Le Haut-Commissaire souligne que « les attaques dirigées contre des civils constituent une grave violation du droit international et un crime de guerre ». « Pour la troisième journée consécutive, des personnes ont été tuées autour d'un site de distribution d'aide géré par la Fondation humanitaire de Gaza. Ce matin, nous avons été informés que des dizaines d'autres personnes ont été tuées et blessées », ajoute-t-il.

Le bureau des droits de l'homme des Nations unies a déclaré que les entraves à l'accès à la nourriture et aux secours pour les civils à Gaza pouvaient constituer un crime de guerre, qualifiant d'inadmissibles les attaques contre les civils qui tentent d'accéder à l'aide alimentaire,

Pour la troisième journée consécutive, des personnes ont été tuées autour d'un site de distribution d'aide géré par la Fondation humanitaire de Gaza.

"Ce matin, nous avons reçu des informations selon lesquelles des dizaines d'autres personnes ont été tuées et blessées", a déclaré Jeremy Laurence, porte-parole du Haut-Commissaire des Nations unies aux droits de l'homme, à des journalistes à Genève, selon des propos rapportés par le Haaretz.

Le président libanais, Joseph Aoun, a reçu au Palais de Baabda, peu avant midi, le ministre iranien des Affaires étrangères, Abbas Araghchi, arrivé à Beyrouth, le matin, rapporte la présidence de la République sur son compte X.

La rencontre s’est tenue en présence du ministre libanais des Affaires Etrangères, Joe Raggi.

Une altercation a éclaté entre des habitants de Seddiqine (caza de Tyr) et une patrouille de la Force intérimaire des Nations unies au Liban, entrée dans la zone de Jabal el-Kabir, à l’intérieur du village, sans escorte de l’armée, selon notre correspondant dans le Sud, Mountasser Abdallah.

Plusieurs incidents de ce type se sont produits au Liban-Sud depuis le début de la trêve entre Israël et le Hezbollah, en novembre dernier.

Des sources sécuritaires israéliennes ont révélé lundi une nouvelle liste de cibles du Hamas, incluant l’ancien représentant du mouvement au Liban, Oussama Hamdane, ainsi que son porte-parole, Sami Abou Zouhri, selon le quotidien israélien Maariv.

Samedi, le ministre israélien de la Défense, Israel Katz, avait menacé d’assassiner des responsables de haut rang des ailes politique et militaire du Hamas, dont Ezz al-Din al-Haddad, membre des Brigades Ezzedine al-Qassam à Gaza-Ville, et Khalil el-Hayya, membre influent du bureau politique du mouvement.

La liste dévoilée par Maariv cite ces trois noms, ainsi que celui du représentant du Hamas à Alger, Sami Abou Zahri.

Le Premier ministre Nawaf Salam a été reçu hier par le président du Parlement et chef du mouvement Amal, Nabih Berry. Une réunion qui illustre une volonté commune de réparer les relations après une hausse des tensions entre Haret Hreik et le Premier ministre, ce dernier se montrant de plus en plus intransigeant sur la question du monopole des armes aux mains de l’État.

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Des drones israéliens survolent actuellement la Békaa, selon notre correspondante dans cette région Sarah Abdallah.

Un responsable sécuritaire libanais, s’exprimant sous anonymat, a déclaré au quotidien An-Nahar que le plan de désarmement des camps palestiniens par l’État libanais sera lancé aux dates fixées pour les première et deuxième phases, et que la troisième phase sera décidée à la lumière de celles-ci. La source a ajouté : "Il n’y aura pas de compromis sur la question, que les factions le veuillent ou non, car il s’agit de la souveraineté libanaise et de la restauration du contrôle de l’État", a encore rapporté le quotidien libanais.

À l’approche du 15 juin, date fixée par le gouvernement pour le début des opérations de désarmement des camps palestiniens, ce chantier s’annonce compliqué.

➡️ Lire les explications de Jeanin Jalkh

Dans le même article, An-Nahar a aussi indiqué que les service de sécurité libanais ont arrêté un Palestinien qui possède également la nationalité danoise considéré comme un "terroriste" llié à Al-Qaïda et à d'autres groupes extrémistes, et qui est soupçonné d'être impliqué dans plusieurs attaques en Europe.

Une équipe de sécurité danoise s’est rendue à Beyrouth pour le récupérer et le rapatrier au Danemark, ajute le quotidien.

Réagissant aux massacres de plus de 20 Palestiniens dans la matinée à Gaza, l'armée israélienne a déclaré mardi, dans un communiqué, avoir tiré "sur quelques suspects isolés qui s’étaient approchés des troupes" alors que des Palestiniens se déplaçaient le long des itinéraires désignés vers les points de distribution d’aide dans le sud de la bande de Gaza, selon le Haaretz.

Selon l’armée, les suspects s’étaient écartés de ces itinéraires.

"L’armée israélienne est au courant des informations concernant des victimes, et les détails de l’incident sont en cours d’examen", a-t-elle ajouté, précisant qu’elle permet à la Fondation humanitaire de Gaza, qui distribue l’aide, "d’opérer de manière indépendante afin de permettre la distribution de l’aide aux habitants de Gaza – et non au Hamas".

"Les troupes de l’armée israélienne n’empêchent pas les civils gazaouis d’accéder aux points de distribution de l’aide humanitaire. Les tirs de sommation ont été effectués à environ un demi-kilomètre du site de distribution, en direction de plusieurs suspects qui s’approchaient des troupes d’une manière jugée menaçante", a précisé l’armée.

Donald Trump s'est opposé lundi à tout "enrichissement d'uranium" dans le cadre d'un éventuel accord sur le nucléaire iranien, après que Téhéran a exclu de se voir privé de ses "activités pacifiques", les négociations entre les deux pays butant sur ce point clé.

"Nous n'autoriserons aucun enrichissement d'uranium dans le cadre d'un potentiel accord" avec l'Iran, a assuré Donald Trump sur son réseau Truth Social.

Le message du président américain arrive après que le site Axios a révélé que la dernière proposition faite par les Américains, samedi, permettait aux Iraniens de procéder à un enrichissement d'uranium limité, ce que le gouvernement américain a toujours exclu jusqu'ici.

L'Iran avait indiqué avoir reçu des "éléments" d'une proposition américaine pour un nouvel accord sur son programme nucléaire à l'issue de cinq cycles de négociations menés sous la médiation d'Oman. "Si l'objectif des négociations est de garantir que l'Iran ne cherche pas à se doter de l'arme nucléaire, alors un accord me semble possible", a affirmé lundi le chef de la diplomatie iranienne Abbas Araghchi.

Mais si "le but est de priver l'Iran de ses activités pacifiques, alors il n'y aura certainement aucun accord", a-t-il insisté au Caire, avant une réunion tripartite avec son homologue égyptien Badr Abelatty et le chef de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) Rafael Grossi.

À Gaza, aucune trêve ne semble se dessiner, malgré la volonté affichée en début de semaine par le Hamas, qui s’est dit prêt à entamer “immédiatement” un nouveau cycle de négociations.

Ce matin, des responsables sanitaires de Gaza ont rapporté que 24 Palestiniens avaient été tués et des dizaines d'autres blessés par des tirs de l’armée israélienne, alors qu’ils attendaient la distribution de l’aide humanitaire dans la zone de Mawassi, à Rafah, dans le sud de la bande de Gaza.

L’incident a profondément choqué les habitants et les militants locaux, qui le décrivent comme “un nouveau massacre de l’aide” visant des civils sans défense. Il s’agirait de l’un des épisodes les plus meurtriers depuis le début des opérations de distribution d’aide dans cette région.

Lundi, le secrétaire général de l’ONU, António Guterres, a réclamé une “enquête immédiate et indépendante” sur ces morts survenues sur des sites de distribution humanitaire.

“Il est inacceptable que des Palestiniens risquent leur vie pour de la nourriture”, a-t-il déclaré, rappelant qu’Israël est tenu, en vertu du droit international, de faciliter l’acheminement de l’aide humanitaire.

L’autre information principale ce matin au Liban est la visite du ministre iranien des Affaires étrangères, Abbas Araghchi, qui a atterri à Beyrouth. Il doit s’entretenir avec le président Joseph Aoun, le Premier ministre Nawaf Salam, le président du Parlement Nabih Berry.

“Nous respectons les affaires intérieures du Liban et nous ne nous y ingérons pas. Nous soutenons la souveraineté du Liban et l’unité de ses territoires, et nous espérons ouvrir une nouvelle page dans les relations avec lui, sur la base du respect mutuel”, a-t-il déclaré à son arrivée à l’aéroport international de Beyrouth, selon des propos rapportés par al-Nashra.

“Ma visite s’inscrit dans le cadre de ma tournée régionale, après mon passage par Le Caire. Je rencontrerai les responsables du pays. Nos relations avec le Liban sont historiques et profondes, fondées sur le respect mutuel, et nous sommes déterminés à les développer”, a-t-il ajouté.

Photo Mohammad Yassine/L'Orient-Le Jour

Au Liban, le poste-frontière de Arida, l’un des points de passage vers la Syrie, a rouvert ce matin à 8h, selon nos journalistes sur place, Lyana Alameddine et Mohammad Yassine.

Les traces de la frappe israélienne qui avait ciblé ce site en novembre dernier, avant le cessez-le-feu conclu entre Israël et le Hezbollah, sont encore visibles. Une partie du pont est toujours détruite.

Vers 7h du matin, une dizaine de voitures attendaient déjà pour passer le contrôle de la Sûreté générale. Au fil des minutes, les véhicules ont continué d’affluer.

Dans la file, Siham, 43 ans, n’a pas fermé l’œil de la nuit. “À cause de la joie”, dit-elle, en laissant couler quelques larmes. Dès 4h30 du matin, elle et sa famille sont partis de Jdeidé (caza du Metn) pour se rendre à Hassaké. Mère de trois filles, elle n’a pas vu sa famille depuis plus de neuf ans. Après la chute du régime, elle n’a pas pu passer immédiatement par Masnaa, son mari — titulaire d’un permis de travail — étant malade. “On attendait qu’il aille mieux”, explique-t-elle.

Peu avant 9h, plus de 100 personnes avaient franchi le poste-frontière de Arida du Liban vers la Syrie.

Dans l'autre sens, du côté syrien vers le Liban, environ huit voitures étaient recensées, pour la plupart conduites par des chauffeurs. Les véhicules portaient des plaques syriennes. Les conducteurs présentaient leurs documents tamponnés avant de passer le poste de contrôle.

Bonjour et bienvenue sur notre couverture en direct de la situation au Moyen-Orient, en particulier à Gaza, où l'offensive israélienne continue de faire des dizaines de morts chaque jour, et au Liban-Sud, qui continue d'être bombardé malgré plus de six mois d'un cessez-le-feu instable.

Nous couvrirons également la situation au Yémen, ainsi qu'en Cisjordanie occupée et en Syrie.