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Économie - Focus

Les banques libanaises peuvent-elles profiter de la levée des sanctions en Syrie ?

Les relations avec leurs homologues syriennes avaient été gelées notamment du fait de la loi César.

Les banques libanaises peuvent-elles profiter de la levée des sanctions en Syrie ?

Une agence de la Banque BEMO Saudi Fransi en Syrie. Photo tirée du site de la Banque BEMO Saudi Fransi

Suite à l’annonce de la levée des sanctions liées à la loi César par le président américain Donald Trump, le 13 mai, la Syrie se prépare à réintégrer les réseaux bancaires internationaux Swift et IBAN. Promulguée en 2019, cette loi avait pour objectif d’isoler le régime syrien de Bachar el-Assad sur les plans militaire, économique et international, en l’empêchant de renforcer ses activités militaires ou qui contribueraient à la reconstruction de la Syrie.  Lire aussi Comment le Liban pourrait profiter de la levée des sanctions liées à la loi César « La levée des sanctions permettra aux banques présentes en Syrie de rétablir leurs relations avec les banques correspondantes et d’être à nouveau capables de recevoir et d’effectuer des transferts d’argent depuis et vers l’étranger », précise Nassib Ghobril, directeur du département de...
Suite à l’annonce de la levée des sanctions liées à la loi César par le président américain Donald Trump, le 13 mai, la Syrie se prépare à réintégrer les réseaux bancaires internationaux Swift et IBAN. Promulguée en 2019, cette loi avait pour objectif d’isoler le régime syrien de Bachar el-Assad sur les plans militaire, économique et international, en l’empêchant de renforcer ses activités militaires ou qui contribueraient à la reconstruction de la Syrie.  Lire aussi Comment le Liban pourrait profiter de la levée des sanctions liées à la loi César « La levée des sanctions permettra aux banques présentes en Syrie de rétablir leurs relations avec les banques correspondantes et d’être à nouveau capables de recevoir et d’effectuer des transferts d’argent depuis et vers l’étranger », précise...
commentaires (5)

Nos honorables banquiers ont pris l’habitude de voler éhontément leurs clients honnêtes. En fait c’était leur activité principale, du moins pour leur majorité. Alors lorgner vers la Syrie avec leur solide réputation d’escrocs ne leur sera pas facile. ils ne méritent aucun voeu de succès.

Goraieb Nada

09 h 21, le 22 mai 2025

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Commentaires (5)

  • Nos honorables banquiers ont pris l’habitude de voler éhontément leurs clients honnêtes. En fait c’était leur activité principale, du moins pour leur majorité. Alors lorgner vers la Syrie avec leur solide réputation d’escrocs ne leur sera pas facile. ils ne méritent aucun voeu de succès.

    Goraieb Nada

    09 h 21, le 22 mai 2025

  • La logique et l’évidence voudraient qu’en temps normal, toutes les banques ont besoin de pêcher de « gros poissons » afin de ferrer, ensuite, des poissons un peu plus petits afin de pouvoir fonctionner correctement. Or, après le racket et la confiscation de liquidités dont ont pâti tous les déposants bancaires libanais, il faut que les banques sachent qu’AUCUN futur (re)déposant ne replacera un seul sou chez eux tant que les banques ne rendront pas les lollars confisqués dans leur totalité. C’est aussi simple et basique que ça !

    DC

    15 h 50, le 21 mai 2025

  • Par quel miracle nos crapules bancaires esperent retrouver la confiance ? Ajoutez au blocage des fonds, depuis bientot 6 ans, le taux de change scandaleux de la BDL 151, l'arrogance et le mepris de la plupart des crapules bancaires envers leurs victimes et aussi le mattraquage systematique des depots CAPTIFS par des frais et commissions bancaires les plus eleves au monde. Tfeeeeehhhhh !

    Michel Trad

    11 h 44, le 21 mai 2025

  • les syriens seraient aussi betes que les libanais l'avaient ete, de (re)faire confiance a nos banquiers.

    L’acidulé

    09 h 30, le 21 mai 2025

  • Enfin, une source bancaire qui ne ment pas et constate que les deposants spolies ne ferront certainement plus confiance a l'ensemble du secteur bancaire Libanais. Il n'y a d'ailleurs pas que le blocage des depots. Il y a aussi le mepris et l'arrogance des banquiers vis-a-vis de leurs victimes et leur comportement predateur qui consiste a matraquer les comptes CAPTIFS des commissions et charges les plus lourdes au monde. Tfeeeeehhhhh.

    Michel Trad

    00 h 39, le 21 mai 2025

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