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Société - 4-Août

L’ex-Premier ministre Hassane Diab entendu par Tarek Bitar : une première au Liban

Une délégation d’enquêteurs français est attendue lundi à Beyrouth.

L’ex-Premier ministre Hassane Diab entendu par Tarek Bitar : une première au Liban

Vue sur le port de Beyrouth après la double explosion du 4 août 2020. Matthieu Karam/L’Orient-Le Jour

Après l’ancien ministre Nouhad Machnouk, interrogé le 17 avril, c’était vendredi au tour de l’ex-chef du gouvernement (21 janvier 2019-10 août 2020) Hassane Diab d’être interrogé par le juge d’instruction près la Cour de justice, Tarek Bitar, chargé de l’enquête sur l’explosion au port de Beyrouth du 4 août 2020. C’est la première fois qu’un ex-Premier ministre est entendu en tant que personne mise en cause. M. Diab s’est présenté devant le juge après plus de trois ans de refus de comparaître, ponctués par des recours judiciaires et de protections politiques ayant obstrué le cours de la justice. Pour mémoire Nohad Machnouk, premier homme politique à être interrogé Si le juge Bitar n’a jamais abandonné l’instruction, il ne pouvait exécuter ses décisions, en raison d’une interdiction imposée à la police judicaire par l’ex-chef de...
Après l’ancien ministre Nouhad Machnouk, interrogé le 17 avril, c’était vendredi au tour de l’ex-chef du gouvernement (21 janvier 2019-10 août 2020) Hassane Diab d’être interrogé par le juge d’instruction près la Cour de justice, Tarek Bitar, chargé de l’enquête sur l’explosion au port de Beyrouth du 4 août 2020. C’est la première fois qu’un ex-Premier ministre est entendu en tant que personne mise en cause. M. Diab s’est présenté devant le juge après plus de trois ans de refus de comparaître, ponctués par des recours judiciaires et de protections politiques ayant obstrué le cours de la justice. Pour mémoire Nohad Machnouk, premier homme politique à être interrogé Si le juge Bitar n’a jamais abandonné l’instruction, il ne pouvait exécuter ses décisions, en raison d’une interdiction...
commentaires (5)

Tiens, tiens ? Changement d'ambiance. Tout ce beau monde d'arrogance, qui refusait meme de comparaitre, veut maintenant montrer patte blanche ? Anciens ministres, deputes, haut grades, tous mafieux.... Tfeeeeehhhhhh.

Michel Trad

10 h 55, le 26 avril 2025

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Commentaires (5)

  • Tiens, tiens ? Changement d'ambiance. Tout ce beau monde d'arrogance, qui refusait meme de comparaitre, veut maintenant montrer patte blanche ? Anciens ministres, deputes, haut grades, tous mafieux.... Tfeeeeehhhhhh.

    Michel Trad

    10 h 55, le 26 avril 2025

  • Hassane Diab n’aurait jamais dû sortir libre du bureau du juge. Il a conduit le pays à toutes les catastrophes et s’est ensuite enfui pour se cacher à l’étranger. Il mérite la prison à vie

    Lecteur excédé par la censure

    08 h 52, le 26 avril 2025

  • ne devrait on pas le poursuivre pour avoir decrete le default financier en 2020 alors que la BdL possedait encore qqs 30 Milliards default qui a provoque l'ecroulement de notre economie?

    L’acidulé

    08 h 42, le 26 avril 2025

  • "… ses « droits constitutionnels et légaux en matière d’incompétence et de non-responsabilité » …" - Joli! Ça sonne presque aussi bien que, comment déjà, ah oui, légitime suspicion, mais en plus long. Sera-ce aussi efficace? Le Peuple attend avec angoisse. Sortons les popcorn’s…

    Gros Gnon

    08 h 18, le 26 avril 2025

  • Dans tout pays normal convoquer un Président ou un premier ministre par la justice est … normal. Sauf qu’au Liban celà est une prouesse incroyable. A quand le tour de michel aoun qui savait mais trop tard pour réagir ! Personne n’est au dessus de la Loi. Un grand merci à Tarek Bitar de nous le rappeler. Finalement les victimes innocentes ne seront pas oubliées et le voyou de srvice wafic safa pourra aller se rhabiller.

    Goraieb Nada

    05 h 38, le 26 avril 2025

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