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Société - Reportage

Famille, knéfé et feux d'artifice : au Liban, un Fitr à l'ombre d'un semblant de cessez-le-feu

De nombreux Libanais se sont rendus dans leurs villages du Sud pour marquer la fin du mois de ramadan, alors que les bombardements israéliens se poursuivent malgré la trêve.

Famille, knéfé et feux d'artifice : au Liban, un Fitr à l'ombre d'un semblant de cessez-le-feu

Un imam dirige la prière lors du premier jour de la fête du Fitr, le 31 mars 2025 dans le village de Kfar Kila au Liban-Sud, à la frontière avec Israël. Rabih Daher/AFP

Des lanternes allumées bordent une rue du quartier de Tarik Jdidé à Beyrouth, alors que l’aube s’est déjà levée en cette matinée nuageuse de la fête du Fitr. Des filles en robes à fleurs et des garçons avec des pistolets en plastique se promènent non loin de la mythique pâtisserie Safsouf, bondée de clients qui font la queue pour acheter des knéfé, une tradition durant cette fête qui marque la fin du mois de ramadan en ce 31 mars. « C’est notre rituel ici », explique Moustapha Itani, 55 ans, à L’Orient Today. « Pendant les trois jours du Fitr, nous mangeons soit de la saouda (foie de volaille ou de bœuf, NDLR), soit du knéfé, que nous soyons riches ou pauvres – c’est indispensable », lance-t-il.À quelques pas de là, des jeunes sortent d’une boutique en portant des paquets de feux d’artifice. « Cinq boîtes coûtent 350 000 LL, la bonne...
Des lanternes allumées bordent une rue du quartier de Tarik Jdidé à Beyrouth, alors que l’aube s’est déjà levée en cette matinée nuageuse de la fête du Fitr. Des filles en robes à fleurs et des garçons avec des pistolets en plastique se promènent non loin de la mythique pâtisserie Safsouf, bondée de clients qui font la queue pour acheter des knéfé, une tradition durant cette fête qui marque la fin du mois de ramadan en ce 31 mars. « C’est notre rituel ici », explique Moustapha Itani, 55 ans, à L’Orient Today. « Pendant les trois jours du Fitr, nous mangeons soit de la saouda (foie de volaille ou de bœuf, NDLR), soit du knéfé, que nous soyons riches ou pauvres – c’est indispensable », lance-t-il.À quelques pas de là, des jeunes sortent d’une boutique en portant des paquets de feux d’artifice. «...
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