
Une femme marche sous la pluie le premier jour du cessez-le-feu, dans la banlieue sud de Beyrouth, le 27 novembre 2024. Mohammad Yassine/L’OLJ
L’Orient-Le Jour a contacté plusieurs responsables locaux et municipaux de la banlieue sud de Beyrouth pour vérifier la fiabilité de ces mises en garde.
OLJ / le 21 mars 2025 à 16h14
Une femme marche sous la pluie le premier jour du cessez-le-feu, dans la banlieue sud de Beyrouth, le 27 novembre 2024. Mohammad Yassine/L’OLJ
Ils leur ont ouvert les portes efde leur région en espérant pouvoir les utiliser en temps et en heure. Leur heure est arrivée, et les voilà qu’ils les désignent comme des intrus alors qu’hier ils leur ont fait croire qu’ils étaient leur invités pour les protéger. Le HB a toujours besoin d’un ennemi qu’il choisit en amont pour justifier ensuite le port de ses armes en créant le chaos qu’il a soigneusement préparé et construit de toute pièce. C’est valable pour la présence de l’armée israélienne sur notre sol, elle a été invitée avec instance pour venir occuper le sud du pays et maintenant ils r
Il est temps que nos services de sécurité interviennent aussi sur les réseaux car les guerres se passent aussi sur ce terrain
"Proprietaires de la terre". Non vous etes des squatters qui ont occupé ces regions pendant la guerre civile. Vous etes aussi proprietaires que les refugiés Syriens.
Ils leur ont ouvert les portes efde leur région en espérant pouvoir les utiliser en temps et en heure. Leur heure est arrivée, et les voilà qu’ils les désignent comme des intrus alors qu’hier ils leur ont fait croire qu’ils étaient leur invités pour les protéger. Le HB a toujours besoin d’un ennemi qu’il choisit en amont pour justifier ensuite le port de ses armes en créant le chaos qu’il a soigneusement préparé et construit de toute pièce. C’est valable pour la présence de l’armée israélienne sur notre sol, elle a été invitée avec instance pour venir occuper le sud du pays et maintenant ils r
13 h 09, le 22 mars 2025