
Hassan Malak, originaire de Beit Lif, depuis la ville de Tebnine où il est déplacé, le 21 janvier 2025. Mohammad Yassine/L’Orient-Le Jour
Interdits de rentrer chez eux par l’armée israélienne, les Malak, originaires de Beit Lif, espèrent son retrait du Liban dans les prochains jours.
OLJ / Par Emmanuel HADDAD, le 23 janvier 2025 à 19h00
Hassan Malak, originaire de Beit Lif, depuis la ville de Tebnine où il est déplacé, le 21 janvier 2025. Mohammad Yassine/L’Orient-Le Jour
Les Israéliens font ce qu’ils veulent, dans un pays qui n’est ni le leur , ni un « territoire occupé », devant un silence international assourdissant.
Puisque M. Hassan nous dit qu'il se sent victorieux denude et parmi ses ruines, alors tout est bien qui finit bien. Se sentir victorieux, c'est tres important...
Et le silence assourdissant de la "communauté internationale". Que n'auraient pas dit ces dirigeants si le cessez-le feu avait été violé par la partie adverse?
Les Israéliens font ce qu’ils veulent, dans un pays qui n’est ni le leur , ni un « territoire occupé », devant un silence international assourdissant.
17 h 54, le 24 janvier 2025