Noël est là avec son festival d’émotions diversement colorées qui nous envahissent. Mémorial de la Nativité du Christ ; mémorial de notre renaissance aussi.
Noël revient cette année sans chichi, sans bling-bling, sans tambour ni trompette. Il arrive dans la simplicité, la douceur et l’humilité, dans le silence de la souffrance aussi pour beaucoup.
Mais n’est-ce pas aussi la quintessence de Noël, le Divin Enfant venu sur terre pour sauver l’humanité en détresse ?
Incarnation vivante de toutes les béatitudes, il est venu pour nous tous en joie ou en peine. Il est venu rétablir la justice pour les opprimés, poser son baume sur les malades et les blessés de la vie, réintégrer les reniés, les oubliés, les injustement marginalisés par la vie ou la société.
Amour suprême, Il s’est révélé à nous dans la forme la plus pure et la plus sublime, celle du nouveau-né fragile et innocent qui aborde la vie dès son balbutiement.
Ainsi, dans cette lumière qui a resplendi dans la grotte de Bethléem, le Saint Sauveur est né, qui s’est penché humblement sur notre humanité désemparée.
Cette nuit-là, dans le firmament, les étoiles scintillent, et une plus particulièrement a guidé les Rois mages et ceux qui sont venus lui rendre hommage.
C’est l’étoile du berger. Elle nous indique le chemin, le chemin de l’espérance, l’espérance sans cesse renouvelée.
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