À Alep, un drapeau national syrien et un portrait du président syrien Bachar el-Assad déchirés, le 30 novembre 2024. Photo AFP
Si les déclarations de soutien au peuple syrien et les appels à une transition pacifique se sont succédé à la suite de la prise de Damas par les rebelles, les capitales de la région sont restées prudentes face à ce qui ressemble surtout à un saut dans l’inconnu. « Le royaume affirme son soutien au peuple syrien frère (...) et appelle à des efforts concertés pour (...) empêcher de glisser vers le chaos et la division », a réagi le ministère saoudien des Affaires étrangères dans un communiqué publié le jour de la fuite du président déchu, le 8 décembre. Même son de cloche du côté de Rabat, d’Abou Dhabi ou du Caire : l’arrivée au pouvoir en Syrie de la coalition rebelle menée par le groupe islamiste Hay’at Tahrir el-Cham (HTC) prend de court et appelle à la retenue. Tour d’horizon des principaux enjeux de la séquence dans le monde...
Si les déclarations de soutien au peuple syrien et les appels à une transition pacifique se sont succédé à la suite de la prise de Damas par les rebelles, les capitales de la région sont restées prudentes face à ce qui ressemble surtout à un saut dans l’inconnu. « Le royaume affirme son soutien au peuple syrien frère (...) et appelle à des efforts concertés pour (...) empêcher de glisser vers le chaos et la division », a réagi le ministère saoudien des Affaires étrangères dans un communiqué publié le jour de la fuite du président déchu, le 8 décembre. Même son de cloche du côté de Rabat, d’Abou Dhabi ou du Caire : l’arrivée au pouvoir en Syrie de la coalition rebelle menée par le groupe islamiste Hay’at Tahrir el-Cham (HTC) prend de court et appelle à la retenue. Tour d’horizon des principaux...
Et bientôt l'axe turque prendra le relais de l'axe iranien. C'est le retour des empires déguisés en pseudo démocraties.
07 h 06, le 21 décembre 2024