
Zeina Fofana et Kolako Kamara dans leur nouvel appartement d'une chambre à Sabra. Renee Davis/L'Orient Today
Après avoir fui des employeurs abusifs et survécu au chaos de la guerre, des travailleuses domestiques repartent de zéro.
OLJ / Par Renee Davis, le 23 décembre 2024 à 10h28
Zeina Fofana et Kolako Kamara dans leur nouvel appartement d'une chambre à Sabra. Renee Davis/L'Orient Today
Il faudrait demander à la banque mondiale de'integrer l'abolition de cette loi esclavagiste dite KAFALA à leur liste de reformes demandées pour l'octroi de prêts sinon ce ne sont pas nos egoistes profiteurs qui vont avoir un regain de conscience.
Bravo aux femmes qui gèrent le foyer ! L’humain a besoin se s’émanciper peu importe où il se trouve. Tout le respect au courage de ces travailleurs étrangers !
Merci à ces femmes qui encore une fois montrent la force du cœur et de la fraternité. Où sont les partis politiques qui engrangent l'argent de leurs commanditeurs et s'engraissent alors que leur rôle est de prêter main forte aux démunis quelque soit leur origine et leur couleur. Encore une fois nos femmes sont à l'honneur et elles seules detiennent le monopole de la charité. Merci à vous Mesdames.
Bravo à ces dames qui gèrent le refuge de Hazmieh!
Bravo. Mille fois Bravo.
Il faudrait demander à la banque mondiale de'integrer l'abolition de cette loi esclavagiste dite KAFALA à leur liste de reformes demandées pour l'octroi de prêts sinon ce ne sont pas nos egoistes profiteurs qui vont avoir un regain de conscience.
19 h 01, le 23 décembre 2024