Nous vous remercions d'avoir suivi notre couverture en direct de la guerre entre le Hamas et Israël.
Nous poursuivrons notre couverture du conflit dès demain matin.
Le ministre libanais sortant des Affaires étrangères, Abdallah Bou Habib, est arrivé au Caire pour participer à la 162e session de la réunion ministérielle de la Ligue des États arabes, selon un communiqué relayé par notre correspondante Hoda Chédid. Le haut responsable doit notamment prononcer un discours exprimant la position libanaise vis-à-vis des tensions qui troublent la région dans le sillage de la guerre de Gaza, qui fait rage depuis le 7 octobre 2023 et qui déborde de plus en plus au Liban-Sud.
Le chef de la diplomatie de l'Union européenne (UE), Josep Borrell, est attendu mercredi et jeudi au Liban où il devrait rencontrer, entre autres, le Premier ministre sortant, Nagib Mikati, le président du Parlement Nabih Berry, le chef de l'armée libanaise, le général Joseph Aoun, ainsi que le ministre sortant des Affaires étrangères, Abdallah Bou Habib, selon un communiqué de la délégation de l'UE au Liban.
Photo diffusée par l'association des scouts al-Rissala, affiliée au mouvement Amal, lors d'une intervention à Kfar Kila (caza de Marjeyoun), touchée par plusieurs raids israéliens ce lundi.
Nouveau point sur la situation au Liban-Sud :
• La frappe israélienne qui a ciblé plus tôt la place du village de Tallousé, dans le caza de Marjeyoun, visait plus spécifiquement une moto, qui a échappé à l'attaque, selon des témoignages d’habitants.
• L’artillerie israélienne a ciblé la localité de Khiam (Marjeyoun), selon d’autres habitants.
• Le Hezbollah a lancé sa 10ᵉ opération de la journée, ciblant cette fois à 18h30 un déploiement de soldats israéliens dans les environs de Metula (face au village libanais de Kfar Kila, dans le caza de Marjeyoun).
Le chef d'état-major de l'armée israélienne, Herzl Halevi, a déclaré que "l'attaque du Hezbollah contre un immeuble résidentiel ce matin à Nahariya est un incident grave, tout comme les tirs en direction des résidents du nord", a rapporté le Haaretz.
Herzl Halevis'est exprimé à la fin d'une évaluation de la situation dans le nord d'Israël, et a déclaré que l'armée israélienne était fortement mobilisée dans le nord du pays et "préparée pour toute tâche qu'elle pourrait être amenée à faire".
« À chaque mission, l’armée israélienne frappait à côté de nous, en guise d’avertissement. Je ne sais pas pourquoi cette fois-ci ils ont décidé de nous frapper directement », confie un volontaire de la Défense civile de Froun à notre journaliste Lyana Alameddine, en référence à la frappe de samedi qui a tué trois pompiers au Liban-Sud.
« Les trois victimes ont été tuées juste après avoir éteint un incendie samedi, vers 18h, dans un champ d’oliviers », poursuit ce pompier. « Nous avons reçu un premier message des volontaires, nous annonçant qu’ils avaient terminé leur intervention. Puis un deuxième message nous annonçant qu’ils ont été blessés par une frappe », ajoute-t-il.
Selon des habitants cités par notre correspondant, le village de Kfarchouba a été bombardé par l'armée israélienne avec de l'artillerie lourde.
A Froun (Bint Jbeil), les funérailles de Kassem Bazzi, un des pompiers tués samedi, ont été organisées cet après-midi. Selon la cousine du défunt, ce dernier était « partisan du mouvement Amal, tout en étant volontaire au sein de la Défense civile ». Bazzi a été blessé il y a un mois à Adaïssé (Marjeyoun) et hospitalisé à cause du phosphore blanc utilisé par l’armée israélienne au Liban-Sud.
« Nous savons que la guerre sera longue, mais nous ne pouvons aller nulle part, nous n’avons pas vraiment peur », a déclaré cette femme à notre journaliste.
Toujours au Liban-Sud :
- L’armée israélienne a effectué trois raids dans le village de Kfar Kila, selon des habitants et une source sécuritaire cités par notre correspondant.
- L’Etat hébreu a frappé la place du village de Tallousé, dans le caza de Marjeyoun.
Le point sur la situation au Liban-Sud :
- La branche militaire de la Jamaa Islamiya, alliée au Hezbollah, a annoncé sa deuxième attaque de la journée, « en soutien à la population de Gaza et de Cisjordanie ». La Jamaa dit avoir lancé des roquettes sur une position de l’armée israélienne à Beit Halal, au niveau de la localité de Kiryat Shmona.
- Le Hezbollah a revendiqué une attaque, à 15h35, contre une position de l’armée israélienne à Habouchit, en face du village libanais de Kfarchouba dans le caza de Hasbaya.
- Le Hezbollah a annoncé avoir attaqué du « matériel d'espionnage » dans la localité israélienne de Ramtha, au niveau des collines contestées de Kfarchouba que le parti considère comme libanaises.
Des centaines de personnes ont rendu hommage à Naplouse en Cisjordanie occupée à une militante américano-turque tuée la semaine dernière lors d'une manifestation contre la colonisation juive. Aysenur Ezgi Eygi, 26 ans, a été tuée vendredi par balle à Beita, près de Naplouse, dans le nord du territoire palestinien occupé par Israël depuis 1967. Sa famille a accusé les forces israéliennes de l'avoir tuée et réclamé une "enquête indépendante". La Turquie a aussi accusé Israël alors que les Etats-Unis ont déploré une mort "tragique".
Le ministère de la Santé de la bande de Gaza a publié un nouveau bilan faisant état de la mort d'au moins 40.988 Palestiniens et de 94.825 blessés des suites des opérations militaires de l'armée israélienne dans l'enclave palestinienne depuis le début de la guerre de Gaza.
Par ailleurs, le Hezbollah a revendiqué avoir mené une attaque "en représailles des attaques contre Hanine" (dans le caza de Bit Jbeil, ayant subi la nuit dernière une frappe aérienne de l'aviation israélienne qui a fait quatre blessés. Le parti chiite dit avoir visé le site de "Jal al-Alam", faisant face au village libanais de Labouné (caza de Tyr), avec des "tirs d'artillerie".
Le point sur les derniers développements sur la situation au Liban-Sud :
- L'armée israélienne a bombardé la périphérie du village de Naqoura (caza de Tyr) à plusieurs reprises au cours de la dernière heure.
- Deux raids ont également été lancés sur les villages de Kfar Hammam et Chebaa (Hasbaya).
En image :
Des femmes en pleurs aux funérailles des trois pompiers tués samedi dans une frappe de drone israélien à Froun.
Abdallah Moussaoui, responsable de Défense civile à Tyr, dit « craindre désormais pour ses hommes » après la « frappe directe » de samedi.
« Pour nous, c’est un message de l’ennemi. (L’armée israélienne) a dû se rendre compte qu’ils étaient de la Défense civile », confie M. Moussaoui à notre journaliste. « Ils éteignaient un feu dans un champ d’oliviers. Nous sommes loin de la frontière. Ici, la vie est normale. Mais depuis le ciblage direct (des volontaires), on a peur que ça arrive à nouveau », ajoute-t-il.
« Nous sommes là pour eux car ils ont risqué leurs vies pour nous », confie Kinda, 21 ans, une des proches de Abbas Hammoud, un des volontaires de la Défense civile tués samedi. Selon Kinda, le frère de la victime a également été tué dans le cadre de son travail de secouriste au sein du comité sanitaire du Hezbollah. « Ils ne faisaient qu’éteindre un feu et ils se sont sacrifiés pour nous, pour que nous puissions rester chez nous », souligne la jeune femme qui a été déplacée de Aadchit (caza de Nabatiyé) à cause du conflit en cours.
Les funérailles à Ghandouriyé ont lieu en présence de volontaires de la Défense civile nationale et de secouristes des scouts Al-Rissala, affiliés au mouvement Amal. Présence de drapeaux d'Amal sur place, selon notre correspondante.
Des funérailles sont organisées cet après-midi dans la localité de Ghandouriyé (Bint Jbeil), après la mort samedi soir de trois volontaires de la Défense civile tués dans une frappe de drone israélien dans la région de Froun, au Liban-Sud.
« Ces martyrs sont du Sud, c’est cela le Sud. Nous sommes fiers d’eux, c’est une sorte de jihad », confie la cousine de Kassem Bazzi, une des victimes de samedi, à notre journaliste sur place, Lyana Alameddine. Selon elle, la victime « a choisi la Défense civile pour défendre sa terre », dans la continuité « de l’imam Hussein (figure vénérée par l’islam chiite) et de l’imam Moussa Sadr », fondateur du mouvement Amal.
L'armée israélienne a appelé les habitants du nord-ouest de la bande de Gaza à évacuer leurs maisons à la suite de tirs de roquettes en provenance de la zone et à destination du territoire israélien.
Le porte-parole arabophone de l'armée israélienne, Avichay Adraee a publié une carte montrant les quartiers à évacuer « considérés comme des zones de combat dangereuses ». « Les organisations terroristes reviennent et procèdent à des tirs de roquettes et à des activités terroristes dirigées contre Israël » a-t-il précisé dans un message sur X en indiquant que la région est une « zone de combat dangereuse ».
Plus tôt lundi, les brigades al-Qods, la branche armée du Jihad islamique, un autre groupe palestinien à Gaza, avaient revendiqué des tirs de roquettes sur Israël, en particulier sur la ville d'Ashkelon.
Enfin, le parti chiite a revendiqué deux autres frappes :
- Contre le "nouveau quartier général de la brigade Ouest, dans la base de Ya'ara", face à Yaroun, dans le caza de Bint Jbeil. Cette frappe a été menée avec une "salve de roquettes Katioucha".
- Contre le site d'"al-Marj", face à Markaba (Marjeyoun).
Le Hezbollah a également annoncé avoir "intercepté un avion de chasse israélien et tiré un missile sol-air en sa direction", ce qui l'a, selon le parti, obligé à "quitter l'espace aérien libanais".
Samedi, le parti avait fait un annoncement similaire concernant un drone de type "Heron".
Le Hezbollah a annoncé une frappe de riposte à la frappe israélienne de la veille contre Kherbet Selm, qui a fait six blessés. Le parti a dit avoir lancé "un escadron de drones explosifs contre le quartier général de la brigade Golani et le siège de l'unité Iguz 621, dans la base de Shraga, au nord d'Acre". Cette attaque a visé les lieux de résidence des militaires sur cette base.
Selon la carte publiée par le parti chiite, la base de Shraga est située à mi-chemin entre Nahariyya et Acre, le long de la côte israélienne, à environ 15 kilomètres en ligne droite de Ras Naqoura (Tyr).
Plus tôt, le Haaretz avait rapporté qu'un drone en provenance du Liban avait frappé un bâtiment résidentiel de Nahariyya, causant un incendie.
Les Brigades al-Fajr (Forces de l'aube, la branche armée de la Jamaa islamiya, a revendiqué une attaque de roquettes contre le site israélien de Beit Hillel, situé près de Kiryat Shmona, face à Houla (Marjeyoun).
La Jamaa islamiya est un parti libanais sunnite, affilié aux Frères musulmans, et qui joue, depuis le début de la guerre de Gaza, le rôle de bras armé du Hamas au Liban. La Jamaa a perdu plusieurs combattants depuis le début des combats et a revendiqué six frappes contre des positions israéliennes.
La situation au Liban-Sud :
- Des tirs d'artillerie ont ciblé Zebqine (Tyr), avec trois obus, et la périphérie de Yater (Bint Jbeil), selon des riverains.
Des ambulances se sont rendues sur le lieu de la frappe à Yater.
Les Brigades al-Fajr (Forces de l'aube, la branche armée de la Jamaa islamiya), a revendiqué une attaque de roquettes contre le site israélien de Beit Hillel, situé près de Kiryat Shmona, face à Houla (Marjeyoun).
La Jamaa islamiya est un parti libanais sunnite, affilié aux Frères musulmans, et qui joue, depuis le début de la guerre de Gaza, le rôle de bras armé du Hamas au Liban. La Jamaa a perdu plusieurs combattants depuis le début des combats et a revendiqué six frappes contre des positions israéliennes.
« La banlieue sud de Beyrouth ressemblera à Gaza, il n'y a pas d'autre solution », a lancé un député israélien du Likoud, Nissim Vaturi. S'adressant à la chaîne publique israélienne Kan, cet élu du Likoud, le parti du PM israélien Benjamin Netanyahu, a déclaré que l'ouverture d'une « guerre de grande ampleur » avec le Hezbollah était une « question de jours ».
Membre de la commission israélienne des Affaires étrangères et de la sécurité, M. Vaturi a exposé son plan de guerre, appelant à un « bombardement aérien préventif pouvant durer jusqu'à cinq jours », suivi d'une « invasion terrestre », tout en affirmant que Netanyahu « partageait (s)on point de vue ».
Noa Goldenberg, l'Israélienne qui avait jeté du sable à la figure du ministre de la Sécurité nationale, Itamar Ben-Gvir, sur une plage de Tel Aviv vendredi, a été inculpée par le ministère public.
Ce dernier a présenté un acte d'accusation au tribunal de première instance de Tel Aviv contre la jeune femme de 27 ans accusée d'avoir agressé un fonctionnaire et d'avoir fait obstruction à un officier de police. La police a également demandé l'extension des conditions restrictives ordonnées à son encontre, elle qui a été incarcérée depuis quatre jours à la prison pour femmes de Neve Tirza, dans la ville de Ramla, au centre du pays, où une vingtaine de manifestants s'étaient réunis samedi pour demander sa libération.
Un engin aérien s'est écrasé contre un bâtiment civil situé dans la ville de Nahariyya, dans le nord d'Israël, selon le Haaretz. Les services d'incendie et de secours israéliens déployés sur les lieux après l'impact ont déclaré que l'incident n'avait pas fait de victimes.
De son côté, l'armée israélienne a déclaré qu'un deuxième drone avait pénétré le territoire israélien depuis le Liban alors que les sirènes d'alarme ont retenti à plusieurs reprises ce lundi matin dans plusieurs localités israéliennes proches de la frontière.
Le Hezbollah a revendiqué une frappe menée à 8h12 ce matin au moyen de « missiles » contre la position israélienne de Ma'ayan Baruch, face à Wazzani (Hasbaya).
Selon le Haaretz, citant l'armée israélienne, deux roquettes lancées depuis le Liban ont été observées dans le nord d'Israël. L'une d'elles est tombée dans un terrain vague et l'autre a été interceptée. Les sirènes d'alerte s'étaient activées dans plusieurs villages de la zone ,notamment Kiryat Shmona, Kfar Yuval, Kfar Giladi, Tel Hai, Metoula et Beit Hillel.
Le Hezbollah a de son côté revendiqué deux frappes hier en soirée :
- La première était une riposte aux « attaques israéliennes sur les villages du Sud », et notamment à la frappe sur Kherbet Selm. Elle a été menée avec « un escadron de drones explosifs sur des plateformes du Dôme de Fer et des logements d'officiers et soldats » israéliens dans la position de Za'oura, située face à Mhaybib, dans le caza de Marjeyoun. Le Hezbollah dit avoir fait des victimes. Les médias israéliens et l'armée n'ont pas fait état, jusqu'à présent de blessés ou tués dans le nord de l'Etat hébreu.
- La seconde, à 3h35, a visé le site de « Samaka », dans les hauteurs contestées de Kfarchouba, « avec des missiles ».
À 7h30 ce matin, des tirs d'artillerie ont visé Kfarchouba (dans le caza de Hasbaya), selon des riverains.
Au Liban-Sud, la nuit a été relativement calme, selon les sources de notre correspondant local Mountasser Abdallah :
- Vers 21h30, le ministère de la Santé a annoncé que le bilan de la frappe sur Kherbet Selm était passé à six blessés, cinq d'entre eux légers. Ces personnes ont été légèrement touchées dans les maisons autour du site de la frappe et ont reçu les soins nécessaires à l'hôpital gouvernemental de Tebnine. Le sixième blessé a été hospitalisé.
- Vers 1h du matin : l'aviation israélienne a ciblé Hanine (Bint Jbeil) et Taybé (Marjeyoun).
- Des tirs d'artillerie ont visé des habitations de Kfar Kila (Marjeyoun).
En Syrie, au moins 14 personnes, dont trois civils syriens, ont été tuées dans la nuit, dans des frappes israéliennes visant des sites militaires dans le centre, dont un centre de recherche scientifique, a indiqué une ONG. « Le nombre de martyrs résultant de l'agression israélienne sur plusieurs sites dans les environs de Messyaf s'est élevé à 14 et les blessés sont au nombre de 43 », a déclaré le directeur de l'hôpital de cette région, cité par Sana.
L'attaque a également détruit des bâtiments et centres militaires dans la zone abritant des centres de recherche scientifique vers Messyaf, « où des groupes pro-iraniens et des experts en développement d'armes sont présents », a ajouté l'ONG, qui a précisé que 13 « violentes explosions » avaient retenti.
Plus de détails ici.
"Je pense depuis de nombreux mois que nous disposons de suffisamment de forces pour nous occuper de Gaza et que nous devrions nous concentrer sur ce qui se passe dans le nord du pays", a-t-il affirmé. "À Gaza, nous avons franchi un point décisif de la campagne. Nous pouvons faire tout ce que nous voulons à Gaza", a-t-il assuré, alors que les opérations de l'armée israélienne s'y poursuivent dans l'attente d'un cessez-le-feu avec le Hamas. "Je pense que nous devrions chercher à conclure un accord pour libérer nos otages, mais si nous n'y parvenons pas dans les jours ou les semaines à venir, nous devrions nous rendre dans le nord".
"Je ne pense pas qu'il faille attendre davantage(...) nous avons la capacité de le faire", a-t-il dit, y compris "en frappant le Liban, si cela s'avère nécessaire". Au-delà, l'ancien général juge que "la vraie question, c'est l'Iran". "Le Hamas c'est une vieille histoire (...) la question de l'Iran et de ses mandataires dans toute la zone et ce qu'ils s'efforcent de faire, c'est la vraie question", a-t-il affirmé.
L'ancien membre du cabinet de guerre israélien Benny Gantz a estimé hier à Washington qu'il était temps pour Israël de s'occuper de la situation dans le nord du pays face au Hezbollah et appelé à faire face à l'Iran.
"L'heure du Nord a sonné et, en fait, je pense que nous sommes en retard sur ce point", a déclaré Benny Gantz, qui participait à un forum de discussion sur le Moyen-Orient (MEAD) dans la capitale américaine, jugeant qu'Israël avait "fait une erreur" en évacuant autant de personnes du nord du pays après l'attaque du Hamas le 7 octobre. Des milliers d'Israéliens ont dû fuir le nord, alors que depuis le début de la guerre dans la bande de Gaza entre Israël et le mouvement islamiste palestinien Hamas, le Hezbollah et l'armée israélienne échangent presque quotidiennement des tirs à la frontière israélo-libanaise.
Bonjour !
Nous sommes au 339e jour de la guerre dans la bande de Gaza. Il s'agit du 338e jour depuis l'ouverture d'un front de "soutien" au Liban-Sud par le Hezbollah.
Retrouvez ici notre couverture en direct de ces événements.
Le Liban est au bord du gouffre...
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Le seul cas où vos frontières (et notre paix) sera garantie passe par le rétablissement EXCLUSIF de l’autorité de l’état Libanais et de son armée (et pas seulement pour le folklore) aidée par des soldats de l’ONU s’il le faut. Faites le bien comprendre à vos amis à Washington. Tout autre accord intérimaire avec une milice ayant à cœur les intérêts de l’Iran sera provisoire et illusoire et le meilleur moyen de s’assurer qu’il n’y aura pas de troubles c’est de dissoudre cette milice comme l autres le furent en 1991.
12 h 21, le 09 septembre 2024