Le portrait du photojournaliste Issam Abdallah dans les locaux d'« as-Safir », le 7 décembre 2023, devant son appareil photo retrouvé après sa mort, le 13 octobre, à Alma el-Chaab. Photo João Sousa/L'Orient-Le Jour
À l'heure où les tribunaux internationaux ont Israël dans leurs viseurs, le Liban ne semble pas pressé d'obtenir justice. Plus de sept mois après la mort du photojournaliste à Reuters Issam Abdallah, tué, selon Beyrouth et plusieurs enquêtes indépendantes, par un tir de char israélien alors qu'il couvrait les affrontements à la frontière sud, le 13 octobre dernier, le Conseil des ministres est revenu mardi sur sa décision de reconnaître la compétence de la Cour pénale internationale (CPI) pour les crimes de guerre israéliens présumés sur le territoire libanais à partir du 7 octobre 2023, date du début de la guerre de Gaza. Une volte-face surprenante que le cabinet sortant n'a pas jugé utile de justifier, quand bien même il rendrait pratiquement impossible de rendre justice aux proches du jeune journaliste et protégerait la machine de...
À l'heure où les tribunaux internationaux ont Israël dans leurs viseurs, le Liban ne semble pas pressé d'obtenir justice. Plus de sept mois après la mort du photojournaliste à Reuters Issam Abdallah, tué, selon Beyrouth et plusieurs enquêtes indépendantes, par un tir de char israélien alors qu'il couvrait les affrontements à la frontière sud, le 13 octobre dernier, le Conseil des ministres est revenu mardi sur sa décision de reconnaître la compétence de la Cour pénale internationale (CPI) pour les crimes de guerre israéliens présumés sur le territoire libanais à partir du 7 octobre 2023, date du début de la guerre de Gaza. Une volte-face surprenante que le cabinet sortant n'a pas jugé utile de justifier, quand bien même il rendrait pratiquement impossible de rendre justice aux proches du jeune journaliste et...
S’il s’agit du Hezbollah qui est derrière ça, pour être sûr de condamner Netanyahu, Hassan Nasrallah doit se soumettre et livrer les deux suspects reconnus coupables de la mort de Rafic Hariri tout en continuant ses investigations pour démontrer l’erreur de leurs condamnations. Ce sera justice pour la Palestine. Quand à sa guerre avec Israël au Liban Sud, le Hezbollah dit qu’il ne s’en est pas pris aux civils, ni aux journalistes tout le contraire des sionistes, et que leurs guerre est une guerre d’aide à la Palestine et surtout une guerre de libération des territoires libanais occupés.
21 h 02, le 31 mai 2024