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Moyen-Orient - Syrie

Affaire Dabbagh, jour 2 du procès : L’insoutenable destruction de l’être

Ali Mamlouk, Jamil Hassan et Abdel Salam Mahmoud sont jugés par défaut en France pour « complicité de crimes contre l’humanité » et « délits de guerre». 

Affaire Dabbagh, jour 2 du procès : L’insoutenable destruction de l’être

Exposition de photographies exfiltrées de Syrie par "César", dans le hall du siège de l'Onu, à New York (Etats-Unis), le 12 mars 2015. Un an plus tard, une commission d'enquête onusienne accuse le régime de Damas d'"extermination" de détenus. AFP

Ils sont encore nombreux ce jeudi 22 mai à assister au procès consacré à l’affaire Dabbagh. Les retardataires peinent à trouver des places. Certains ne peuvent tout simplement pas entrer. L’audience commence à 9h30 avec la déposition de la juge...
Ils sont encore nombreux ce jeudi 22 mai à assister au procès consacré à l’affaire Dabbagh. Les retardataires peinent à trouver des places. Certains ne peuvent tout simplement pas entrer. L’audience commence à 9h30 avec la déposition de la juge...
commentaires (1)

Pour les "faits", (article d’hier) s’ils ne faisaient pas partie du mouvement de soulèvement, et s’ils ne faisaient pas de commentaires ou autres messages politique sur les réseaux sociaux, il est mentionné dans d’autres journaux (que j’ai lu en PDF) qu’on leur reprochait de fournir de l’aide humanitaire aux habitants d’un camp palestinien. En Syrie, aider des réfugiés est passible de mort ? C’est en effet leur nationalité franco-syrienne qui a permis à la justice parisienne de se saisir. Reconnaissance posthume oui, mais que vaut cette reconnaissance après tant de souffrances... et de mort...

NABIL

14 h 44, le 23 mai 2024

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Commentaires (1)

  • Pour les "faits", (article d’hier) s’ils ne faisaient pas partie du mouvement de soulèvement, et s’ils ne faisaient pas de commentaires ou autres messages politique sur les réseaux sociaux, il est mentionné dans d’autres journaux (que j’ai lu en PDF) qu’on leur reprochait de fournir de l’aide humanitaire aux habitants d’un camp palestinien. En Syrie, aider des réfugiés est passible de mort ? C’est en effet leur nationalité franco-syrienne qui a permis à la justice parisienne de se saisir. Reconnaissance posthume oui, mais que vaut cette reconnaissance après tant de souffrances... et de mort...

    NABIL

    14 h 44, le 23 mai 2024

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