
Exposition de photographies exfiltrées de Syrie par "César", dans le hall du siège de l'Onu, à New York (Etats-Unis), le 12 mars 2015. Un an plus tard, une commission d'enquête onusienne accuse le régime de Damas d'"extermination" de détenus. AFP
Ali Mamlouk, Jamil Hassan et Abdel Salam Mahmoud sont jugés par défaut en France pour « complicité de crimes contre l’humanité » et « délits de guerre».
OLJ / Par Soulayma MARDAM BEY, le 23 mai 2024 à 11h06
Exposition de photographies exfiltrées de Syrie par "César", dans le hall du siège de l'Onu, à New York (Etats-Unis), le 12 mars 2015. Un an plus tard, une commission d'enquête onusienne accuse le régime de Damas d'"extermination" de détenus. AFP
Pour les "faits", (article d’hier) s’ils ne faisaient pas partie du mouvement de soulèvement, et s’ils ne faisaient pas de commentaires ou autres messages politique sur les réseaux sociaux, il est mentionné dans d’autres journaux (que j’ai lu en PDF) qu’on leur reprochait de fournir de l’aide humanitaire aux habitants d’un camp palestinien. En Syrie, aider des réfugiés est passible de mort ? C’est en effet leur nationalité franco-syrienne qui a permis à la justice parisienne de se saisir. Reconnaissance posthume oui, mais que vaut cette reconnaissance après tant de souffrances... et de mort...
Pour les "faits", (article d’hier) s’ils ne faisaient pas partie du mouvement de soulèvement, et s’ils ne faisaient pas de commentaires ou autres messages politique sur les réseaux sociaux, il est mentionné dans d’autres journaux (que j’ai lu en PDF) qu’on leur reprochait de fournir de l’aide humanitaire aux habitants d’un camp palestinien. En Syrie, aider des réfugiés est passible de mort ? C’est en effet leur nationalité franco-syrienne qui a permis à la justice parisienne de se saisir. Reconnaissance posthume oui, mais que vaut cette reconnaissance après tant de souffrances... et de mort...
14 h 44, le 23 mai 2024