Éric Ciotti au siège des Républicains malgré son éviction de la tête du parti, à Paris, le 13 juin 2024. Quentin de Groeve/Hans Lucas/AFP
Pas de pitié chez les Français. Au menu de leur semaine, un chef de parti bunkérisé, un autre grand-remplacé et un troisième qui s’efforce, non sans difficulté, d’être poli comme un bon vieux social-démocrate suédois. La France est dans la mouise, mais elle gambade gaiement vers la catastrophe. Et il faut dire que ses représentants lui rendent le pétrin hilare.DimancheTout a commencé le jour du Seigneur, qui, visiblement, était d’humeur taquine. Vingt heures, la sentence tombe. Le Rassemblement national arrive largement en tête à l’issue des élections européennes. Le parti présidentiel d’Emmanuel Macron est loin derrière. C’est une défaite cuisante pour Renaissance et ses alliés, talonnés de près par les sociaux-démocrates emmenés par Raphaël Glucksmann. Une heure plus tard, à 21h, Macron Ier, senior manager de la start-up France,...
Pas de pitié chez les Français. Au menu de leur semaine, un chef de parti bunkérisé, un autre grand-remplacé et un troisième qui s’efforce, non sans difficulté, d’être poli comme un bon vieux social-démocrate suédois. La France est dans la mouise, mais elle gambade gaiement vers la catastrophe. Et il faut dire que ses représentants lui rendent le pétrin hilare.DimancheTout a commencé le jour du Seigneur, qui, visiblement, était d’humeur taquine. Vingt heures, la sentence tombe. Le Rassemblement national arrive largement en tête à l’issue des élections européennes. Le parti présidentiel d’Emmanuel Macron est loin derrière. C’est une défaite cuisante pour Renaissance et ses alliés, talonnés de près par les sociaux-démocrates emmenés par Raphaël Glucksmann. Une heure plus tard, à 21h, Macron Ier,...
Excellent article. Merci
09 h 13, le 18 juin 2024