Entre l’Irak et la Turquie, la stratégie de l’apaisement au détriment du PKK
La mesure prise par Bagdad d’interdire le Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), classé terroriste par Ankara, souligne l’apaisement des liens entre les deux voisins.
Des soldats irakiens et turcs se tiennent à côté de chars lors d'un exercice militaire conjoint, près de la frontière turco-irakienne dans le district de Silopi à Sirnak, le 26 septembre 2017. Photo AFP
C’est une décision inédite dans l’histoire de l'Irak. Un « tournant » dans ses relations avec la Turquie, s’est empressé de saluer Ankara. Jeudi 14 mars, Bagdad a officiellement interdit le Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), un groupe...
C’est une décision inédite dans l’histoire de l'Irak. Un « tournant » dans ses relations avec la Turquie, s’est empressé de saluer Ankara. Jeudi 14 mars, Bagdad a officiellement interdit le Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), un groupe...
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