Une bannière électorale israélienne prise lors des élections législatives du printemps 2020 montrant les deux rivaux de l'époque, Benny Gantz (à gauche) et le Premier ministre Benjamin Netanyahu. Jack Guez/AFP
Depuis plusieurs mois, l’ombre d’une dissolution du cabinet de guerre plane sur Israël. Soucieux de conserver le soutien de ses partenaires de coalition ultranationalistes et d’extrême droite, le Premier ministre Benjamin Netanyahu ne manque pas...
Depuis plusieurs mois, l’ombre d’une dissolution du cabinet de guerre plane sur Israël. Soucieux de conserver le soutien de ses partenaires de coalition ultranationalistes et d’extrême droite, le Premier ministre Benjamin Netanyahu ne manque pas...
Boostez votre rentrée avec un centenaire ultra informé.
Offre spéciale : 100 jours d'abonnement pour 1$ seulement !
Chers lecteurs, afin que vos réactions soient validées sans problème par les modérateurs de L'Orient-Le Jour, nous vous prions de jeter un coup d'oeil à notre charte de modération.
S,ILS PASSENT DE DARTAGNAHU A PORTHOS, ATHOS OU ARAMIS... RIEN NE CHANGE. UN POUR TOUS ! TOUS POUR UN !
LA LIBRE EXPRESSION
11 h 58, le 08 mars 2024
"… au chef de l’exécutif israélien, qui énerve le président démocrate …" - il y a de quoi, il lui a coûté sa réelection…
Gros Gnon
20 h 03, le 07 mars 2024
Attention attention ! Gantz , avec sa formule de solution à deux Ètats , semble avoir la mémoire courte : Il a oublié que pour les mêmes motifs , le Likoud même avait fait assassiner Isaac Rabin !
S,ILS PASSENT DE DARTAGNAHU A PORTHOS, ATHOS OU ARAMIS... RIEN NE CHANGE. UN POUR TOUS ! TOUS POUR UN !
11 h 58, le 08 mars 2024