Après la vente de Ras al-Hikma aux Émirats arabes unis, le projet Ras Gamila s’inscrit dans une série d’actions entreprises par le président Abdel Fattah el-Sissi pour attirer des devises étrangères. Photo Getty
« Un immense projet sur la mer Rouge, de l’envergure de Ras al-Hikma, sera annoncé très prochainement. » Depuis cette déclaration, samedi dernier à la télévision égyptienne, du président du Comité des investissements privés Samir Sabry, tous les regards se tournent vers Ras Gamila. Et la rumeur ne cesse d’enfler, selon laquelle l’Arabie saoudite aurait des vues sur cette ville côtière de la mer Rouge, alors que les Émirats arabes unis viennent tout juste d’acquérir la station balnéaire de Ras al-Hikma pour la modique somme de 24 milliards de dollars, promettant en outre 11 milliards de dépôts déjà présents dans le pays, qui seront convertis en « projets de premier plan ». Ras Gamila est connue pour ses récifs coralliens propices à la plongée sous-marine. Son emplacement à proximité de l’aéroport et de la station balnéaire de Charm...
« Un immense projet sur la mer Rouge, de l’envergure de Ras al-Hikma, sera annoncé très prochainement. » Depuis cette déclaration, samedi dernier à la télévision égyptienne, du président du Comité des investissements privés Samir Sabry, tous les regards se tournent vers Ras Gamila. Et la rumeur ne cesse d’enfler, selon laquelle l’Arabie saoudite aurait des vues sur cette ville côtière de la mer Rouge, alors que les Émirats arabes unis viennent tout juste d’acquérir la station balnéaire de Ras al-Hikma pour la modique somme de 24 milliards de dollars, promettant en outre 11 milliards de dépôts déjà présents dans le pays, qui seront convertis en « projets de premier plan ». Ras Gamila est connue pour ses récifs coralliens propices à la plongée sous-marine. Son emplacement à proximité de l’aéroport et...