
Iskandar Safa, à l'été 2001, au large des côtes normandes, à bord d'un des bateaux construits par sa société Triacorp. Photo d'archives L'OLJ
De combattant des Gardiens des Cèdres à l’une des plus grandes fortunes de l’Hexagone, en passant par le négociateur pour la libération d’otages français à Beyrouth, le Franco-Libanais est décédé lundi, à 68 ans.
OLJ / Julien RICOUR-BRASSEUR, avec Caroline HAYEK, le 30 janvier 2024 à 22h16
Iskandar Safa, à l'été 2001, au large des côtes normandes, à bord d'un des bateaux construits par sa société Triacorp. Photo d'archives L'OLJ
Cet article remue les souvenirs idealistes chretiens de 1975-1976, au tout debut d'une longue guerre civile qui a prouve que les chretiens pouvaient se hair autant qu'ils haissaient les Palestiniens et les musulmans, toutes les desillusions qui ont suivi les slogans "Non a la Syrie" (La li-Souriya) qu'on pouvait lire sur les murs d'Achrafieh, et le reve d'un mini-etat chretien, et tous les reves qui se sont heurtes a la barbarie humaine, menant au final a l'occupation militaire syrienne, suivie par une invasion et occupation "civiles" syriennes. Au hasard Balthazar / Liban).
Le chevalier sans peur et plein de reproches ? On se le demande, surtout que l'article ne fait pas la lumiere sur les sources d'une fortune aussi prodigieuse.
Cela me rappelle les engouements idealistes chretiens en 1975-1976, au tout debut d'une longue guerre civile qui a cyniquement prouve que les milices chretiennes pouvaient se hair autant qu'ils haissaient les Palestiniens et les musulmans, toutes les desillusions qui ont suivi les slogans "Non a la Syrie" (la li-souriya) qu'on pouvait lire sur les murs d'Achrafieh, et le reve d'un mini-etat chretien, et tous les reves qui se sont heurtes a la realite de la sauvagerie et concupiscence humaines, menant au final a l'occupation militaire syrienne, suivie par une invasion et occupation "syriennes".
L'achat de ce torchon raciste en dit tout sur le personnage.
Les liaisons parfois dangereuses entre les magnats, les chevaliers d’industrie et la presse, et la saga Gosn, Safa, et Bernard Tapie et la reprise d’anciens établissements en difficulté. Ces années du fric facile, ont permis à Safa de réussir, quand des compatriotes libanais se déclaraient avoir honte de leur pays.L’article du Monde et le droit de réponse de Safa, ne lèvent pas tellement le voile, quand il était très difficile de trouver un emploi pour un diplômé surtout d’origine étrangère. Pourquoi lui faire porter à vie l’aabaya politique de sa jeunesse… quand il a quitté le Liban en 1977.
Un patriote de plus qui nous quitte en toute humilité! Paix a son âme!
Un personnage de roman! A quand le film?
C’est marrant sa vision extrême et sans subtilité du “monde de l’Islam” violent ne la pas empêché de partir en Arabie Saoudite pour monter des affaires
passionnant. on en veut plus
Cet article remue les souvenirs idealistes chretiens de 1975-1976, au tout debut d'une longue guerre civile qui a prouve que les chretiens pouvaient se hair autant qu'ils haissaient les Palestiniens et les musulmans, toutes les desillusions qui ont suivi les slogans "Non a la Syrie" (La li-Souriya) qu'on pouvait lire sur les murs d'Achrafieh, et le reve d'un mini-etat chretien, et tous les reves qui se sont heurtes a la barbarie humaine, menant au final a l'occupation militaire syrienne, suivie par une invasion et occupation "civiles" syriennes. Au hasard Balthazar / Liban).
19 h 03, le 31 janvier 2024