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Sport - Ligue des champions

Six sur six pour le Real

Grâce à un doublé de Joselu, les Madrilènes ont poursuivi leur sans-faute en décrochant une nouvelle victoire sur le terrain de l'Union Berlin (3-2).

Joselu célébrant l'un de ses deux buts inscrits lors de la victoire du Real Madrid sur la pelouse de l'Union Berlin. Odd Andersen/AFP

Assuré de la première place de son groupe, le Real Madrid est allé s'imposer mardi soir sur la pelouse de l'Union Berlin (3-2) au stade olympique, porté par un doublé de Joselu, pour la dernière journée de la phase de groupe Ligue des champions.

Avec 18 points sur 18 possibles au compteur, les hommes de Carlo Ancelotti ont outrageusement dominé leur groupe de la première à la dernière journée. Dominateurs, les Madrilènes ont manqué l'ouverture du score juste avant la pause, sur un penalty de Luka Modric repoussé par le gardien de l'Union Berlin, Frederik Rönnow (45e).

Sur l'occasion suivante, le défenseur central du Real, David Alaba, s'est complètement raté et l'avant-centre de l'Union, Kevin Volland, n'a pas laissé passer l'occasion d'ouvrir le score.

Mené au score contre le cours du jeu, le Real a renversé la rencontre par Joselu en l'espace d'une dizaine de minutes. Peu après l'heure de jeu, l'international espagnol s'est d'abord défait du marquage de son défenseur pour tromper enfin Rönnow.

Le gardien danois de Berlin avait jusque-là repoussé toutes les tentatives madrilènes, notamment face à Jude Bellingham et Rodrygo. Sur une contre-attaque initiée par Modric, le Real Madrid a pris les devants au score à une vingtaine de minutes de la fin, Joselu se trouvant à la conclusion.

Dans les cinq dernières minutes, la rencontre a pris une tournure folle avec l'égalisation d'Alex Kral pour les Berlinois à la 85e minute et le but de la victoire pour le Real Madrid par Dani Ceballos (89e).

La première expérience en Ligue des champions de l'Union Berlin, club à l'ascension folle de la 2e division à la C1 en quatre saisons, se termine ainsi avec quatre défaites et deux matches nuls.

Naples s'offre une éclaircie

Son titre de champion d'Italie déjà perdu avant même la fin de l'année, Naples peut se consoler avec la Ligue des champions, dont il disputera les 8es de finale après sa victoire face à Braga (2-0).

Le Napoli, relégué à quatorze points de l'Inter Milan et 6e en championnat, retrouvera la compétition-reine du football européen en février en terminant à la 2e place de ce groupe C avec 10 unités au compteur. Et ce grâce à un succès dans son stade Diego-Armando-Maradona où il a tant souffert et déçu cette saison, et ne s'était plus imposé depuis plus deux mois.

Contre Braga, Victor Osimhen, élu la veille meilleur joueur africain de l'année, et ses coéquipiers ont vite montré qu'ils ne faisaient aucun complexe à domicile malgré leur mauvaise série.

Même s'ils n'en avaient pas forcément besoin, ils ont été bien aidés par une charnière défensive portugaise bien laborieuse. Il ne leur a ainsi fallu que neuf minutes pour prendre l'avantage sur une touche rapidement jouée par son capitaine Giovanni Di Lorenzo. Matteo Politano a ensuite pris de vitesse l'arrière-garde de Braga et son centre a été propulsé dans son propre but par Serdar Saatçı.

Quelques minutes plus tard, Osimhen a doublé la mise avec son premier but de la saison en C1 : profitant du travail sur l'aile gauche de Natan, le Nigérian s'est joué de José Fonte et a trompé le portier brésilien de Braga d'une talonnade dos au but scellant le sort de la rencontre.

Le Napoli, qui avait atteint la saison dernière les quarts de la finale de la compétition où il avait chuté face à l'AC Milan, est le troisième club italien à rallier les 8es de finale après l'Inter Milan et la Lazio Rome, déjà qualifiés après la 5e journée.

Assuré de la première place de son groupe, le Real Madrid est allé s'imposer mardi soir sur la pelouse de l'Union Berlin (3-2) au stade olympique, porté par un doublé de Joselu, pour la dernière journée de la phase de groupe Ligue des champions.

Avec 18 points sur 18 possibles au compteur, les hommes de Carlo Ancelotti ont...

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