Samir Ayoub pose des fleurs le 6 novembre sur la carcasse du véhicule ciblé la veille par une frappe israélienne au Liban-Sud. Photo AFP
« Remas était comme ma sœur », lâche Chirine Ibrahim. L’adolescente de 14 ans raconte qu’elle accueillait souvent sa camarade de classe après l’école dans sa maison à Aïnata, un village du Liban-Sud situé à 6 km de la frontière avec Israël. «...
« Remas était comme ma sœur », lâche Chirine Ibrahim. L’adolescente de 14 ans raconte qu’elle accueillait souvent sa camarade de classe après l’école dans sa maison à Aïnata, un village du Liban-Sud situé à 6 km de la frontière avec Israël. «...
C’est bien triste, mais ces gens du sud Liban ont majoritairement voté pour le Hezbollah en sachant que cette organisation allait leur ramener tot ou tard des problemes , des guerres, attiser la vengeance etc… si ce n’est pas le hezbollah qui s’est invité aux hostilités en s’attaquant à Israel afin de sauver la face et faire croire à une unité de fronts, il n’y aurait pas eu de bombardements ni de raids . Ce n’est pas comme si les Israeliens ce sont reveillés un beau matin et se sont mis à bombarder de paisibles villageois qui n’ont rien fait …
22 h 17, le 07 novembre 2023