Le Parlement israélien a entériné jeudi la formation d'un gouvernement d'urgence et d'un cabinet de guerre à une écrasante majorité des députés présents, lors d'une session extraordinaire diffusée en direct.
La formation de ce gouvernement d'urgence pour diriger le pays le temps de la guerre a été approuvée par 66 voix contre 4, soit la majorité des 120 députés de la Knesset (Parlement).
Annoncé la veille par le Premier ministre, Benjamin Netanyahu, et son rival, Benny Gantz, le gouvernement est composé de cinq nouveaux ministres de la formation de M. Gantz, alors que le chef de l'opposition, Yaïr Lapid, a annoncé plus tôt son refus de rejoindre ce gouvernement.
Portant un costume et une chemise noirs, M. Netanyahu a déclaré avant le vote: "le gouvernement d'union que nous mettons en place va envoyer un message d'une grande force". Il a réitéré ses menaces contre le Hamas en assurant que la guerre ne pouvait se terminer que "par une victoire totale et la destruction" du mouvement islamiste palestinien.
M. Lapid, absent lors du vote au Parlement, avait fustigé la formation de ce gouvernement composé "d'extrémistes" et dénoncé la "responsabilité" de M. Netanyahu dans "l'échec" des autorités qui ne sont pas parvenues à empêcher l'attaque perpétrée sur son sol par le Hamas, la plus meurtrière depuis la création d'Israël il y a 75 ans.
Le 7 octobre, Israël a été pris par surprise par des combattants du Hamas qui ont infiltré le pays à bord de véhicule, par les airs et la mer et assassiné plusieurs centaines de civils, dans la rue, chez eux ou en pleine rave-party.
Lors de cette attaque d'une extrême violence qui a provoqué la sidération dans le pays, le Hamas a enlevé plusieurs dizaines d'otages israéliens, étrangers et binationaux, qu'il menace d'exécuter.
Israël a riposté en déclarant une guerre pour détruire les capacités d'action du mouvement islamiste, pilonnant sans relâche la bande de Gaza et déployant des dizaines de milliers de soldats autour du territoire, dans le sud du pays, et à sa frontière nord avec le Liban, où les échanges de tirs sont fréquents avec le Hezbollah pro-iranien, allié du Hamas.
La formation de ce gouvernement d'urgence pour diriger le pays le temps de la guerre a été approuvée par 66 voix contre 4, soit la majorité des 120 députés de la Knesset (Parlement).
Annoncé la veille par le Premier ministre, Benjamin Netanyahu, et son rival, Benny Gantz, le gouvernement est composé de cinq nouveaux ministres de la formation de M. Gantz, alors que le chef de l'opposition, Yaïr Lapid, a annoncé plus tôt son refus de rejoindre ce gouvernement.
Portant un costume et une chemise noirs, M. Netanyahu a déclaré avant le vote: "le gouvernement d'union que nous mettons en place va envoyer un message d'une grande force". Il a réitéré ses menaces contre le Hamas en assurant que la guerre ne pouvait se terminer que "par une victoire totale et la destruction" du mouvement islamiste palestinien.
M. Lapid, absent lors du vote au Parlement, avait fustigé la formation de ce gouvernement composé "d'extrémistes" et dénoncé la "responsabilité" de M. Netanyahu dans "l'échec" des autorités qui ne sont pas parvenues à empêcher l'attaque perpétrée sur son sol par le Hamas, la plus meurtrière depuis la création d'Israël il y a 75 ans.
Le 7 octobre, Israël a été pris par surprise par des combattants du Hamas qui ont infiltré le pays à bord de véhicule, par les airs et la mer et assassiné plusieurs centaines de civils, dans la rue, chez eux ou en pleine rave-party.
Lors de cette attaque d'une extrême violence qui a provoqué la sidération dans le pays, le Hamas a enlevé plusieurs dizaines d'otages israéliens, étrangers et binationaux, qu'il menace d'exécuter.
Israël a riposté en déclarant une guerre pour détruire les capacités d'action du mouvement islamiste, pilonnant sans relâche la bande de Gaza et déployant des dizaines de milliers de soldats autour du territoire, dans le sud du pays, et à sa frontière nord avec le Liban, où les échanges de tirs sont fréquents avec le Hezbollah pro-iranien, allié du Hamas.
Le Parlement israélien a entériné jeudi la formation d'un gouvernement d'urgence et d'un cabinet de guerre à une écrasante majorité des députés présents, lors d'une session extraordinaire diffusée en direct.La formation de ce gouvernement d'urgence pour diriger le pays le temps de la guerre a été approuvée par 66 voix contre 4, soit la majorité des 120 députés de la Knesset...
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