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Nos Lecteurs ont la Parole

Le débat des « bas »

Tout le monde le sait déjà, et s’en convainc, de plus en plus, de jour en jour : une bonne partie des politiques libanais sont des profiteurs et des saisisseurs d’opportunités en vue de la réalisation d’intérêts personnels qui, malheureusement, contredisent profondément ceux de l’État et de l’avenir existentiel même du Liban.

Au vu et au su de toute la population libanaise, dont les partis politiques, les problèmes à discuter et à résoudre sont récurrents et d’une ampleur aussi nationale qu’internationale. Et c’est là la même situation qui a débuté avant la guerre de 1975, puisque, peut-être, sans les ramifications internationales, le conflit aurait pu ne pas avoir lieu et aucune goutte de sang n’aurait coulé.

En fait, les pays étrangers, qu’ils soient arabes, américains ou européens, se servent, selon leurs besoins et selon les circonstances du moment, des politiques libanais. Quand ces derniers n’ont plus de rôle à jouer, ils les écartent d’une manière ou d’une autre...

Nos chers politiques, vous n’avez nullement besoin de rentrer dans une cella ou un cellier pour vous inspirer ou pour puiser des solutions aux tragédies que nous vivons, ou plutôt à celles que vous nous faites vivre. Il vous suffit d’arrêter ce dialogue rancunier que vous vous envoyez les uns aux autres à travers certains médias que vous prenez pour des catapultes et qui n’aboutira au final qu’à une causalgie inutile.

Nos chers politiques, que vous preniez tout pour cher sauf le Liban, la solution se trouve dans la conscience de chacun et de chacune de vous. Soyez des autodidactes en essayant d’apprendre ce que l’histoire du pays a à vous apprendre ; car celle-ci dispose d’un autosome particulier qui vous fera éviter les mêmes erreurs déjà commises.

Peut-être que nous pourrions encore rattraper ce qui nous a échappé : la paix, la jeunesse, le sourire. Appliquons à nous-mêmes la sévérité qui nous permettra de nous juger nous-mêmes et d’être des censeurs envers nous-mêmes, et non seulement des juges.

De toute façon, l’espoir en un demain plus beau demeurera toujours le plus présent dans nos esprits, le plus fort, le plus pertinent et le plus souhaité, malgré toutes et tous, malgré tout.

Docteure en sociologie politique

Tout le monde le sait déjà, et s’en convainc, de plus en plus, de jour en jour : une bonne partie des politiques libanais sont des profiteurs et des saisisseurs d’opportunités en vue de la réalisation d’intérêts personnels qui, malheureusement, contredisent profondément ceux de l’État et de l’avenir existentiel même du Liban.

Au vu et au su de toute la population libanaise, dont les partis politiques, les problèmes à discuter et à résoudre sont récurrents et d’une ampleur aussi nationale qu’internationale. Et c’est là la même situation qui a débuté avant la guerre de 1975, puisque, peut-être, sans les ramifications internationales, le conflit aurait pu ne pas avoir lieu et aucune goutte de sang n’aurait coulé.

En fait, les pays étrangers, qu’ils soient arabes, américains ou européens, se servent, selon leurs besoins et selon les circonstances du moment, des politiques libanais. Quand ces derniers n’ont plus de rôle à jouer, ils les écartent d’une manière ou d’une autre...

Nos chers politiques, vous n’avez nullement besoin de rentrer dans une cella ou un cellier pour vous inspirer ou pour puiser des solutions aux tragédies que nous vivons, ou plutôt à celles que vous nous faites vivre. Il vous suffit d’arrêter ce dialogue rancunier que vous vous envoyez les uns aux autres à travers certains médias que vous prenez pour des catapultes et qui n’aboutira au final qu’à une causalgie inutile.

Nos chers politiques, que vous preniez tout pour cher sauf le Liban, la solution se trouve dans la conscience de chacun et de chacune de vous. Soyez des autodidactes en essayant d’apprendre ce que l’histoire du pays a à vous apprendre ; car celle-ci dispose d’un autosome particulier qui vous fera éviter les mêmes erreurs déjà commises.

Peut-être que nous pourrions encore rattraper ce qui nous a échappé : la paix, la jeunesse, le sourire. Appliquons à nous-mêmes la sévérité qui nous permettra de nous juger nous-mêmes et d’être des censeurs envers nous-mêmes, et non seulement des juges.

De toute façon, l’espoir en un demain plus beau demeurera toujours le plus présent dans nos esprits, le plus fort, le plus pertinent et le plus souhaité, malgré toutes et tous, malgré tout.

Docteure en sociologie politique

Tout le monde le sait déjà, et s’en convainc, de plus en plus, de jour en jour : une bonne partie des politiques libanais sont des profiteurs et des saisisseurs d’opportunités en vue de la réalisation d’intérêts personnels qui, malheureusement, contredisent profondément ceux de l’État et de l’avenir existentiel même du Liban. Au vu et au su de toute la population...

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