Un combattant des Forces démocratiques syriennes (FDS) dans la province de l’Est syrien de Deir ez-Zor, le 4 septembre courant. Delil Souleiman/AFP
C’est une région qu’on a l’habitude de mentionner pour les attaques ponctuelles menées par le groupe jihadiste État islamique (EI) ou encore les affrontements entre cibles pro-iraniennes et Washington. Depuis plus d’une semaine, la province de l’Est syrien de Deir ez-Zor – et tout particulièrement les zones sous contrôle kurde situées du côté de la rive orientale de l’Euphrate – s’est réinvitée au premier rang de l’actualité du pays, en parallèle des manifestations antigouvernementales à Soueida et Deraa (Sud), pour d’autres raisons. Un vieux ressentiment opposant les forces kurdes, composantes majoritaires des Forces démocratiques syriennes (FDS) – soutenues par Washington dans sa lutte antiterroriste contre l’EI – et les tribus locales, quasi exclusivement arabes, a suscité une série d’affrontements. Et menace de rebattre les cartes...
C’est une région qu’on a l’habitude de mentionner pour les attaques ponctuelles menées par le groupe jihadiste État islamique (EI) ou encore les affrontements entre cibles pro-iraniennes et Washington. Depuis plus d’une semaine, la province de l’Est syrien de Deir ez-Zor – et tout particulièrement les zones sous contrôle kurde situées du côté de la rive orientale de l’Euphrate – s’est réinvitée au premier rang de l’actualité du pays, en parallèle des manifestations antigouvernementales à Soueida et Deraa (Sud), pour d’autres raisons. Un vieux ressentiment opposant les forces kurdes, composantes majoritaires des Forces démocratiques syriennes (FDS) – soutenues par Washington dans sa lutte antiterroriste contre l’EI – et les tribus locales, quasi exclusivement arabes, a suscité une série...
Quelles perspectives pour le Liban et le Moyen-Orient ?
Offre limitée : 3 mois d'abonnement pour 1$ seulement !
Cet article est réservé aux abonnés. Abonnez-vous pour 1$ et accédez à une information indépendante.
Dans votre abonnement numérique : la version PDF du quotidien L’Orient-Le Jour, des newsletters réservées aux abonnés ainsi qu'un accès illimité à 3 médias en ligne : L’Orient-Le Jour, L’Orient Today et L’Orient Littéraire.
Tout est compliqué dans la région. C’est comme à l’époque, la guerre entre libanais et palestiniens les années 70/80. Les citoyens occidentaux étaient perdus et ne comprenaient rien. La vision était perturbée par tant d’inter-actions, intérêts locaux, régionaux et internationaux… idem pour la guerre en Syrie et irak… tellement de parties en guerre et d’alliances qui se font et défont selon les étapes… même nous, voisins de la Syrie , nous ne savons plus qui fait quoi dans ce bazar
Chers lecteurs, afin que vos réactions soient validées sans problème par les modérateurs de L'Orient-Le Jour, nous vous prions de jeter un coup d'oeil à notre charte de modération.
Tout est compliqué dans la région. C’est comme à l’époque, la guerre entre libanais et palestiniens les années 70/80. Les citoyens occidentaux étaient perdus et ne comprenaient rien. La vision était perturbée par tant d’inter-actions, intérêts locaux, régionaux et internationaux… idem pour la guerre en Syrie et irak… tellement de parties en guerre et d’alliances qui se font et défont selon les étapes… même nous, voisins de la Syrie , nous ne savons plus qui fait quoi dans ce bazar
Tout est compliqué dans la région. C’est comme à l’époque, la guerre entre libanais et palestiniens les années 70/80. Les citoyens occidentaux étaient perdus et ne comprenaient rien. La vision était perturbée par tant d’inter-actions, intérêts locaux, régionaux et internationaux… idem pour la guerre en Syrie et irak… tellement de parties en guerre et d’alliances qui se font et défont selon les étapes… même nous, voisins de la Syrie , nous ne savons plus qui fait quoi dans ce bazar
16 h 52, le 07 septembre 2023