Dix ans après le massacre de la Ghouta, « je me souviens encore du moindre détail »
Anas*, survivant de la première attaque à grande échelle à l’arme chimique perpétrée par le régime Assad dans la banlieue de Damas, le 21 août 2013, revient sur cette journée.
OLJ / Propos recueillis par Noura DOUKHI, le 21 août 2023 à 00h00
Un bombardement sur la ville de Douma, principale agglomération de la Ghouta orientale, dans la banlieue de Damas. Hassan Mohammed/AFP
21 août 2013, dans la Ghouta. Des dizaines de corps inanimés gisent côte à côte dans des hôpitaux improvisés, sans aucune trace de sang, comme le montrent des photos diffusées à l’époque. D’autres habitants sont morts chez eux, dans leur lit,...
21 août 2013, dans la Ghouta. Des dizaines de corps inanimés gisent côte à côte dans des hôpitaux improvisés, sans aucune trace de sang, comme le montrent des photos diffusées à l’époque. D’autres habitants sont morts chez eux, dans leur lit,...
Chers lecteurs, afin que vos réactions soient validées sans problème par les modérateurs de L'Orient-Le Jour, nous vous prions de jeter un coup d'oeil à notre charte de modération.