Rechercher
Rechercher

Économie - Restauration

Bazalt, deux concepts sous un seul toit

Bazalt, deux concepts sous un seul toit

L’espace du resto-lounge est plus grand, avec 120 places assises et un grand bar de 25 places. Photo DR

C’est l’histoire de deux mondes qui se rencontrent sous un même toit à Achrafieh, dans la capitale libanaise. « À droite, on découvre le concept japonais du omakase, et à gauche celui du resto-lounge. Il y a des panneaux en basalte qui séparent les deux espaces mais on peut voir chaque côté à travers des hublots », explique Charif Doumit, PDG de AMM, al-Mandaloun Management SAL.

Bazalt, qui a ouvert en juin, est le dernier-né de l’entreprise AMM, qui gère non seulement les sept Mandaloun du Liban, situés à Beyrouth, Dbayé et Batroun, mais aussi le Mandaloun de Doha (Qatar), ainsi que les deux restaurants Léo la Terrasse et Le trottoir de Paloma à Beyrouth. « Nous travaillons avec des investisseurs privés. Pour Bazalt, en plus de Carlos Hardane, Tarek Karam et moi-même, six personnes ont investi avec nous dans le restaurant », explique Charif Doumit, sans toutefois révéler le montant de cet investissement.

C'est le chef qui décide

Ancien étudiant en architecture, c'est Charif Doumit lui-même qui s’est occupé des plans. « Il faut que l’architecture du lieu serve au fonctionnement du restaurant », explique-t-il. L'ambiance y est minimaliste avec, côté omakase, seulement douze places assises. En japonais, « omakase » signifie que « l’on s’en remet au chef ». C’est donc le chef qui décide, non pas le client. « Nous y offrons un menu fixe de 24 plats pour 130 dollars, et c’est notre chef qui le conçoit selon son humeur et les arrivages du jour, pour que tout soit frais. »

Dans la même rubrique

Une expérience culinaire les pieds dans l'eau : le Bar du Port Beach a ouvert à Byblos

L’espace du resto-lounge est plus grand, avec 120 places assises et un grand bar de 25 places. L’ambiance y est tout aussi tamisée, mais les plats sont à partager. Le menu est international avec des influences italiennes, américaines et, bien sûr, japonaises, avec une sélection de sushis et de makis. Le ticket moyen y est d’environ 75 dollars. Le bar, lui, est l’élément central du lounge. Charif Doumit est en charge des plats et c’est son associé, Carlos Hardane, qui, avec son entreprise Double Shake, gère le côté boissons.

Enfin, l’aventure du groupe ne se termine pas là. « Nous avons pour l’instant trois projets dans les tuyaux », tous basés au Liban car « nous croyons encore en ce pays », souligne tout sourire Charif Doumit. Chaque établissement est sa propre entreprise, mais la gestion est laissée à AMM. « Mon père a monté cette entreprise familiale avec le premier al-Mandaloun en 1974. Nous avions dû fermer pendant la guerre civile. Maintenant, on se développe. »

Cet article, réalisé dans le cadre d’un partenariat avec Hodema Consulting Services, n’a pas de vocation promotionnelle.

C’est l’histoire de deux mondes qui se rencontrent sous un même toit à Achrafieh, dans la capitale libanaise. « À droite, on découvre le concept japonais du omakase, et à gauche celui du resto-lounge. Il y a des panneaux en basalte qui séparent les deux espaces mais on peut voir chaque côté à travers des hublots », explique Charif Doumit, PDG de AMM, al-Mandaloun...

commentaires (0)

Commentaires (0)

Retour en haut